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Politesse, appellation sociale
Les formules de politesse ont énormément changé au cours de la dernière décennie, sous l’influence de l’Empereur Bujihito. À l’instar d’une partie du vocabulaire commun, les usages ont été rabotés au sabre par le Nouvel Empire du Japon. Il paraissait peut-être important pour le chef du gouvernement et l’empereur de définir des égards jusqu’alors oubliés par la société nippone du vingt-et-unième siècle.
Les penseurs de la doctrine d’Etat qui ont contribué à cette métamorphose du parler japonais croyaient fermement en l’idée que le langage était le modulateur d’une société… qu’en modifiant les formules de politesse, par des procédés diverses tels que l’éducation, la censure, la publicité, le Nouveau Japon créait de nouveaux japonais. .
En imposant de nombreuses normes de langage, il a œuvré à la transformation des suffixes honorifiques.
Les conventions sociales à l’égard des étrangers ont également mutées. Le terme “kuso-gaijin” sert désormais de qualificatif pour tous les ressortissants de pays étrangers. Il est communément admis dans la sphère publique, voire plébiscité auprès de certaines audiences.
Depuis 2019, les écoles (collèges, lycées et universités) enseignent l’art de la politesse, une matière du tronc commun obligatoire pour tout diplôme. Les formules se sont nettement complexifiées et de nouveaux usages ont ainsi vu le jour. La maîtrise de ces codes de politesse est, très rapidement, devenu un sujet majeur dans les foyers.
S’il persiste toujours quelques traces des anciennes politesses, telles que les classiques : bonjour (ohayo ou konnichiwa), merci (arigato), s’il-vous-plaît (onegaishimasu), pardon (sumimasen), l’intégralité de ce champ de formulation a néanmoins été revisité par les académiciens de l’Etat. Le préfixe “So-” (désignant les ancêtres) est désormais nécessaire dans l’emploi exacte d’une formule de politesse japonaise : so arigato (merci aux ancêtres) est une expression qui témoigne d’une gratitude envers les ancêtres d’avoir mis la personne sur son chemin ; so ohayo (bonjour aux vivants et aux défunts) ; so oneigashimasu (je supplie les ancêtres) ; so sumimasen (que vos ancêtres m’excusent).
La famille et la société
Il y a un véritable retour aux valeurs traditionnelles japonaises. Le Gouvernement fait une différenciation des rôles entre les hommes et les femmes dans un couple, un foyer, une famille. Les hommes sont censés rapporter de l’argent et les femmes gérer les finances et les dépenses.
→ La famille qui occupe une place très importante, centrale, énormément valorisée.
→ Le célibat des femmes entre 20 et 30 ans est mal vu ; les familles veulent à tout prix marier leurs filles.
→ Interdiction de la transidentité et de la remise en question du genre. L’homosexualité est relativement tolérée, devenue de plus en plus tabou, mais tout de même autorisée. Les politiciens ne peuvent pas afficher leur orientation sexuelle lorsqu’elle est orientée vers une personne du même genre.
→ Il y a un taux de natalité de plus en plus faible au Japon… Paradoxalement, l’Empire valorise énormément le fait d’avoir des enfants.
→ Les défunts ancêtres sont glorifiés dans les familles et les personnes âgées considérées comme des gourous dont la parole doit être écoutée…
→ Être chef de famille (dans une famille riche, importante ou ancienne) est considérée comme un rôle à part entière ; les chefs de famille se succèdent en sélectionnant leurs héritiers ; ils sont considérés comme les seules personnes autorisées à parler au nom de tous ceux qui portent le sien et peut engager la responsabilité collective de sa famille devant la loi.
→ La responsabilisation des aînés dans les fratries est une valeur commune.
→ Pénalisation de l’avortement
→ Adoptions d’adultes et mariages arrangés.
→ Indiscutabilité des ordres des parents.
→ Retour des corporations : clans qui possèdent le monopole sur des productions et de l’artisanat.
→ Confusion entre la famille et les amis dans la haute-société : il est souvent proposé aux amis de marier quelqu’un de notre famille.
La politique du silence
Le silence est une pratique politique et administrative qui a été instituée en 2027 par Tanaka Minobe. Elle est issue d’un trait grossi de la société japonaise qui consiste à considérer la parole comme quelque chose d’offensif et de bruyant, et découle du souhait d’effacement de la subjectivité que désire opérer l’Empire du Nouveau Japon.
D’aucuns disent qu’elle a été pensée dans l’objectif de réduire la communication entre les manifestants et maintenir une discipline de fait dans les lieux publics. Beaucoup pensent que cette orientation a surtout été créée pour initier les citoyens à la discipline militaire absolue et tester l’agentivité du peuple japonais.
Elle est pratiquée dans des lieux particuliers, parfois appelés Shinzukana-jin (静かな寺院, litt. “temple du silence”) ; leurs entrées sont marquées par une arche lumineuse, ornée du kanji clignotant “黙” (dama(ru) ; litt. taisez-vous) et affublée de panneaux de règles. Ces endroits peuvent être de différentes natures, mais ils appartiennent tous globalement à la sphère publique ; on considère généralement les grandes places emblématiques, les écoles et les lieux de propagande culturelle comme sujets à la politique du silence.
La plupart des enceintes de lieux considérés comme des “temples du silence” sont construites avec une accoustique spéciale, qui amplifie les murmures. Des microphones sont intégrés aux parois de certaines pièces et identifient les voix à travers les sons qui sont perçus grâce à un système de reconnaissance vocale ultra-performant. Les caméras également perçoivent les mouvements de lèvres et la vibration de la gorge pour analyser le degré de phonie des individus dans les lieux où le silence est obligatoire. Les zones de silence sont délimitées par des barrières au sein desquelles il est strictement interdit non seulement de parler, mais également de produire du bruit ; évidemment, les sons minimes, liés aux mouvements et à la physique sont autorisés tant qu’ils respectent la limite maximum à ne pas dépasser qui est 40 db (ce qui équivaut au niveau sonore “normal” d’une bibliothèque).
Les bruits extérieurs à ces champs de silence sont considérés, dans une juste mesure, comme des sons annexes non-pénalisables. Il y a néanmoins des limites à cette tolérance : ces bruits ne doivent pas dépasser les cent décibels (les avions ont interdiction de passer au-dessus des shizukana-jin, les véhicules n’ont pas le droit de klaxonner à proximité de ces temples) et être considérés comme des sons nécessaires à la vie des lieux alentours.
Il faut toutefois savoir qu’il existe des exceptions à cette loi. Les daibensha (代弁者, litt. porte-paroles) portent une boucle en or blanc de l’Empire à gauche de la poitrine, au niveau du coeur ; cette médaille luxueuse, en forme de chrysanthème, témoigne d’une autorisation officielle de l’Empereur à faire usage de la parole dans les temples du silence. Ce statut prestigieux ordonne, de fait, une responsabilité à ceux qui le possèdent : c’est la raison pour laquelle ils exercent habituellement une fonction de magistrature ou de haute-administration au sein du Gouvernement.
Les Shinzukana-jin sont :
- Les espaces publics emblématiques :
Les endroits qui symbolisent l'autorité et la puissance de l'État, tels que les monuments à la gloire de Bujihito qui ont été construits depuis son avènement, les places de l’hôtel de ville et les sites historiques, sont des lieux où le silence est strictement imposé. Parler à voix haute est considéré comme un manque de respect envers le régime et son idéologie ; les capteurs sont puissants et remarquent assez rapidement les contrevenants. Grâce au système d'identification faciale et de reconnaissance vocale des caméras, leur crédit social est directement impacté.
Il est toutefois possible d’y livrer duel. La provocation en duel doit être attestée par l’écriture de la formule (Meyo no Keto) par les deux partis sur un parchemin officiel, doublement signé, et confiée à une autorité compétente pour arbitrer. L’intégralité du combat devra se dérouler dans le mutisme le plus total : attention, même si la tolérance au bruit est relativement moins stricte que celle à la parole, des sanctions peuvent toutefois être prises pour les combattants qui se rendent coupables de tapages excessifs lors d’un duel dans un lieu public. - Les institutions gouvernementales :
Les bâtiments gouvernementaux, tels que les ministères, les administrations régionales et les mairies, sont des lieux où le silence est imposé afin de maintenir une atmosphère de soumission et de respect envers les autorités.
⇒ Les politiciens qui ne sont pas des daibensha portent des masques qui couvrent leur bouche et communiquent par notes écrites ou par diffusion vocale par écouteurs à partir de notes écrites.
⇒ Une parole prononcée dans un mauvais moment (c-a-d : pendant la diffusion d’un message politique, d’une allocution de l’Empereur, d’une présentation des ordres du jour par un Ministre, etc.), y compris par un daibensha, est considérée comme une faute grave. Elle peut faire l’objet de scandale politique, d’une éviction rapide, voire même d’une décision pénale.
⇒ Il y a une forme d’amplification de la politique du silence chez la classe dirigeante, qui porte cette pratique en elle et l’impose à la population. Ils se doivent d’être irréprochablement soumis à cette loi du mutisme pour donner l’exemple et c’est ce qui rend la fonction aussi noble aux yeux de la société.
⇒ Les notes qui contiennent des secrets d’Etat sont scellées dans des capsules de phosphore. Seul l’Empereur est capable de les ouvrir sans qu’elle se consument instantanément au contact de l’air. Une technologie de pointe fournie par son unité de recherche privée lui permet de faire usage d’un décryptage à l’acide des messages classés secrets d’Etat.
⇒ Les rares civils qui sont autorisés à pénétrer dans les enceintes des institutions gouvernementales ont une interdiction absolue de parole. Qu’importe l'événement, si ce n’est pas l’Empereur lui-même ou Tanaka Minobe qui lève la loi sur l'individu, le moindre mot lui coûtera l’emprisonnement immédiat. - Les espaces de propagande :
Les lieux où la propagande du régime est diffusée, tels que les salles de cinéma, les théâtres et les centres de diffusion médiatique contrôlés par l'État, sont des endroits où le silence est strictement exigé.
Les messages de propagande sont les seuls autorisés à être entendus clairement : les œuvres doivent être applaudies en silence, par des mains levées en mouvement ; les présentateurs sont des daibenshas et contrôlent habilement les messages et leur réception - ils sont également habilités à punir légalement un contrevenant à la politique du silence dans une audience. - L’éducation primaire et secondaire :
Les établissements d'enseignement (de la maternelle à la fin de l’enseignement secondaire ; du 3 à 18 ans) ont adopté la méthode du silence avec la nomination de Katsuya Fujimura en tant que Ministre des Sciences et de l'Éducation. Les instituteurs et institutrices, désormais considérés comme des magistrats et par voie de fait, des daibensha, peuvent punir légalement les élèves pour manquement à la loi du silence.
Une seule fois par an, les élèves reçoivent l’illustre privilège de s’exprimer lors d’un exposé de louanges à l’Empereur qui déterminera le passage à la classe supérieure. Le reste des évaluations se déroulent à l’écrit ; et la récréation se veut la plus silencieuse possible. Il arrive que les élèves s’adonnent à des activités physiques, sportives par exemple, mais elles se déroulent uniquement dans le silence. Une des conséquences accessoires de cette pratique est ainsi le développement de la compréhension non-verbale entre les enfants.
L’objectif est tout de même de promouvoir l’endoctrinement des jeunes générations et de contrôler les discours contraires à l’idéologie du régime. Il s’agit d’éduquer une génération rapidement et de lui inculquer l’obéissance. - Lieux de commémoration militaire : Les cimetières et les sites de commémoration dédiés aux soldats et aux victimes de guerre sont des endroits où le silence est imposé pour souligner le culte de la guerre et le devoir patriotique. Le seul moment qui déroge à cette loi est lorsqu’il s’agit d’un enterrement et que les proches désirent chanter l’hymne nationale en guise d’oraison funèbre.
Hygiénisme, mysophobie et nosophobie générale
→ Masques transparents obligatoires dans les lieux publics
→ SAS de décontamination dans certains instituts prestigieux (administratif, sanitaire, lieux de luxe) : jets de vapeur hydro-alcoolique sous pression et scanner anti-bactérien, qui détecte automatiquement les infections…
→ Porte automatique et hyper-automatisation des services
→ Contacts physiques extrêmement mal vus : pour dire bonjour, on se salue poliment de loin
→ Saigner en public est pénalement répréhensible (y compris lors des duels)
→ Outil de scan de la police sanitaire (Eiseikeisatsu) capable d’analyser la quasi-totalité des données biologiques, bactériologiques et microbiennes d’un individu ; les critères de normalisation du corps peuvent être extrêmement stricts - un contrôle équivaut souvent à un embarquement sanitaire…
→ Grossophobie et validisme : les personnes en état de surpoids, voire d’obésité, sont ostracisées, car elles sont considérés comme des vecteurs de propagation de maladies et des personnes dotées d’un système immunitaire faible, capable de poser problème à la santé collective ; les handicapés moteurs (para et tétra) n’ont plus accès à certains bâtiments et sont renvoyés à des établissements de seconde zone…
→ Diabolisation et hyper-pathologisation de la maladie mentale : les comportements jugés “atypiques”, “anormaux” sont très vite perçus comme problématiques et catégorisés dans une des nouvelles typologies de maladie mentale établies par le nouveau Ministère de la Santé ; de très nombreuses pathologies psychiatriques ont vu le jour et l’Eiseikeisatsu est extrêmement intransigeante envers ceux qui paraissent être atteints par elles…
Exemples :
⇒ La paresse/l’oisiveté/le laxisme a été catégorisé en 2033 par un organisme d’étude psychopathologique dépêché par Sanae Miromoto comme une nouvelle forme de trouble dépressif aigu et est à présent traité par des médicaments…→ Obligation pour les marchands textiles de vendre des tissus ou des vêtements avec plus de 50% de fibres techniques anti-microbiennes
⇒ La déférence/la rébellion a été catégorisé très tôt par les autorités de l’Eiseikeisatsu comme une forme de neuropathie ; ceux qui n’adhèrent pas automatiquement à la doctrine d’Etat et qui ne participent pas activement à la propagande en public sont perçus comme des “terroristes émotionnels” et sont stigmatisés par les autorités…
⇒ La transidentité est également considérée comme une maladie mentale par les autorités sanitaires…
⇒ L’individualisme a été jugé en 2033 comme un symptôme de maladie mentale, et qui peut-être selon les circonstances considéré à proprement parler comme une maladie : “l’atrophie empathique”, une nouvelle forme de psychopathie clinique…
→ Zones de quarantaine établies dans les sous-sols des hôpitaux et des centres universitaires hospitaliers : Disposition de camps d’emprisonnement et d’isolements des malades jugés dangereux (pour eux-mêmes, pour les autres ou pour la société en général) ; traitements lourds des malades avec des injections permanentes ; déportation vers des cellules d’études approfondies.
→ Recrudescence des nettoyages publics et contrôles sanitaires ultra-fréquents dans les établissements de restauration…
→ Matière scolaire “Hygiène et société” enseignée dans le secondaire : Les élèves apprennent les gestes d'hygiène appropriés, les pratiques de désinfection et les protocoles de prévention des maladies… Ils apprennent aussi à diaboliser les maladies mentales, les personnes en surpoids et les handicapés.
→ Réseau social de délation des problèmes d’hygiène et de santé pour les médecins : Primes et crédits sociaux offerts à ceux qui accumulent les délations fructueuses sur le réseau social de l’Eiseikeisatsu nommé Whiteline.
Hakko ichiu et Bushido
→ Révisionnisme historique : Le gouvernement a réécrit l'histoire du Japon, en mettant l'accent sur les périodes impériales passées et glorifiant les conquêtes et l'expansion territoriale du pays, notamment en attisant la haine contre ses différents ennemis essentiels : la Russie pour Sakhaline, la Chine pour la Mandchourie et les Etats-Unis pour les Philippines.
Les manuels scolaires et les médias sont utilisés pour propager cette vision impérialiste auprès des jeunes générations en insistant sur la nécessité sémantique d’étendre son territoire…
Il y a également de multiples apparitions de Musées de la Guerre et de la Mémoire dans le pays.
→ Militarisation de la société : banalisation du combat à mort et du duel ; les castes de duellistes, généralement les riches et les propriétaires honorés par l’Empire et le Gouvernement (société impériale, honneurs impériaux, etc.), se baladent avec leur daisho (katana + wakizashi) attaché à leur costume et n’hésitent pas à l’utiliser ; le duel à mort est à présent dépénalisé, voire encouragé, et la vente d’armes blanches s’est démocratisé, au point d’être accessible dans les supermarchés dans des rayons spécifiques ; il faut toutefois savoir que les meilleurs productions sont réservés aux forgerons experts, qui ont, depuis l’avènement de Bujihito, été drôlement mis de l’avant dans l’effort de guerre.
Les wakizashi sont les armes les plus communément répandues dans la société japonaise, car elles sont les moins chères et les plus accessibles ; certains l’utilisent même comme couteau de cuisine.
→ Place des Yakuzas dans le système martial japonais : Certaines familles de yakuzas, dont les activités illicites ont été contenues, voire détruites par l’impérialisation du régime, se sont transformés en groupes d’intervention paramilitaire qui supplante le travail de la police dans les zones rurales et agit comme une nouvelle force de l’ordre, dont les actes parfois très violents sont dépénalisés par l’AME.NO.ME ; le retour aux valeurs traditionnelles leur a permis d’établir un nouveau code d’honneur calqué sur celui de l’Agence Impériale.
En échange de ces services rendus à l’Empire, ces familles se voient relaxées juridiquement lors de débordements sur les civils et on leur accorde des accès à des business à peu près légaux et surtout assez mal vus, sur lesquels les autorités ferment généralement les yeux : les jeux d’argent (pachinko), l’usurerie, la prostitution, la pornographie, l’alcool, etc.
→ Mépris des romajis
→ Renforcement de la stature divine de Bujihito : Des cérémonies d'adoption symboliques sont organisées pour que des citoyens exemplaires soient adoptés officiellement par l'empereur ou des hauts responsables gouvernementaux. Ces individus deviennent alors des symboles vivants de la loyauté impériale et sont vénérés par la population.
→ Encouragement de l'industrie militaire : L'économie est fortement orientée vers l'industrie de défense et l'armement. La population est encouragée à soutenir et à travailler dans ces secteurs, ce qui favorise la croissance de l'industrie militaire et l'expansion des forces armées.
→ Service militaire obligatoire et mis en avant du combat :
Les arts martiaux traditionnels ont été repensés et réintroduits ; la pratique sportive est écartée et l’esprit de compétition sert le combat total ; le judo a été remplacé par l’ancien jujutsu (art de la souplesse des samouraï) et le kendo a été remplacé par l’ancien kenjutsu dans les écoles militaires obligatoires entre le Secondaire et le Supérieur (pendant 3 ans, de 18 à 21 ans).
→ Promotion de la guerre et normalisation de l’imagerie guerrière :
Les médias, la musique, le cinéma et d'autres formes d'expression culturelle mettent l'accent sur des thèmes guerriers et nationalistes. Des œuvres d'art, des spectacles et des festivals sont créés pour célébrer les réalisations militaires du passé et inspirer la population à développer un instinct guerrier.
Des jeux vidéo d’Etat basés sur des simulations de 3ème Guerre Mondiale sont diffusés dans les cours de récréation et offerts aux étudiants pour les former et les préparer à la pratique de la guerre d’expansion.
→ Culture du kamikaze et du sacrifice :
Glorification posthume des anciens kamikazes via l’intronisation d’une nouvelle hōshō (Médaille honorofique) au ruban blanc décernées à “ceux qui ont offerts leurs vies pour la gloire et l’honneur du Japon”. Instauration d’un crédit d’honneur pour service rendu au famille des martyrs équivalent d’environ 2500 ryos mensuels.
→ Hérédités de guerre : Les familles de soldats et de policiers bénéficient de multiples avantages sociaux : réduction dans les magasins, autorité de médiation dans un conflit de rue, autorisation de réquisition de véhicule, port d’armes à feu pour le père de famille, autorisation à la parole dans les Shinzukana-jin, etc.
→ Zones d'entraînement privilégiés : Il s’agit de zones délimitées dans des espaces ruraux qui accueillent les citoyens ayant gagné de nombreux duels et cherchent à faire émerger des talents martiaux. Accéder à ces zones est un honneur pour les citoyens.
Spiritualité
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