LANCEMENT DU PREMIER EVENT le 01/04/2024Soyez au rendez-vous !
33 années
Exorciste
Rang I
Orthodoxie
· Lumière Catabolique (Relique éphémère)
· Objet d'affiliation á l'Orthodoxie (Objet simple).
Ne nous leurrons guère de notre emploi ; nous ne sommes qu'en bas de l'échelle malgré notre rang, tout simplement pour notre nom de famille : notre clan, notre sang, notre infortune ; horreur ! Nous pouvons encore être heureux d'y avoir été accepté ; nous en profitons simplement pour écouter d'une oreille attentive - nous fixons sans insistance aucune l'ingratitude des élèves ou des professeurs ; nous passons outre les insultes et regards dédaigneux - nous grognons quelques fois. Nous ne sommes pas chien galeux, mais un peu indiscipliné ; nous secouons le doigt avec sourire dédaigneux face aux incultes ; nous nous permettons même un petit claquement de langue en levant distinctement la main pour mieux l'abaisser en baissant notre centre de gravité, pliant nos genoux et faisant notre meilleure révérence. ((les fous verraient un sourire ; les prudents verraient les crocs))
Agent d'entretien pour certaines missions de l'Orthodoxie
N'est-ce pas le comble d'une ironie d'être basé à Tokyo pour un Kamo ? Bien pratique pour l'Orthodoxie de pouvoir nous trimballer d'une scène à une autre pour nettoyer les restes de boyaux, de sang avarié ou d'une vessie bien lâche ; d'un corps décomposé à celui gonflé par une eau qu'un mourant ne recrachera jamais - nous grimaçons, nous retenons notre propre estomac quand il en manque certains pour les macchabées - l'odeur d'un œuf pourri passe son chemin malgré notre masque renforcé et s'infiltre par tous les pores de notre peau pour mieux s'y loger ; un haut-le-cœur nous saisit et nous déglutissons à grande peine - recracher nos glaires suffirait à empester pendant des mois malgré notre envie effrénée de nettoyer ladite combinaison des centaines de fois. ((la compassion n'est que faiblesse - les visages n'en paraissent plus))
Ancien garde de Chubu
Nous posons dédaigneusement nos godasses à même le bureau qui nous est assigné ; des années ont passé et nous frottons déjà nos mains avec le gel hydro alcoolique que nous avons nous-même nettoyer avec un chiffon précédemment qui finira à la poubelle sans vergogne aucune - nous haussons un sourcil et répondons hargneusement à un collègue que nous sachons ne pas être du clan ; nous pouvons nous le permettre, nous sommes issus d'un prestige dû par notre naissance - foutaises absolues. Nos mains abîmées par tant de passages de savon, de cicatrices déjà dépassés à celles nouvelles qui laissent une fine couche de sang qui finira par devenir une croûte ; ce sang qui nous dégoûte autant que nous dégoûte tout ce qui se trouve autour de nous - de cet air jusqu'à nos propres vêtements - si la bienséance n'était pas de mise, si notre survie n'en dépendait pas ; nous aurions fini nus et sans honte.
Diplômé de l'école de Nagoya
Nous rasons les murs, nous sommes fautifs d'un horrible crime ; nous ne haussons ni le ton ni un simple sourcil - nous ne pipons mot, mais nous tentons de ne pas détériorer encore plus le ressenti du clan à notre égard, déjà bien mauvais. Nous finissons diplômés, ce qui parait si évident, que cela n'étonne personne ; personne ne pourrait se douter de l'individu que nous sommes devenu et caché dans les replis de notre être, notre envie dévorante de découvrir l'histoire prônerait sur tout. ((les incompris coule le long d'un trône d'osselets ; l'âge n'est de mort qu'un mystère à permettre l'embranchement de chemins.))
Cela claque une petite méchanceté (sarcastique) ■ ça promet de mordre (hargneux) ■ ça exagère à outrance et avec plaisir non dissimulé (caricatural) ■ ça protège sans le dire aucunement (réservé) ■ ça vous montre les dents, ça monte jusqu'aux yeux (faux) ■ ça range, ça nettoie et ça rouspète avec mots crus si vous osez l'interrompre (maniaque & mysophobe) ■ ça vous tranche mais avec des mots (tranchant) ■ ça se sait vouloir tout savoir (curieux) ■ ça regarde toujours (attentif) ■ ça préfère se préparer avant de partir à l'improviste (prudent) ■ ça n'est pas matérialiste (idéaliste) ■ ça transperce et ça n'en a rien à faire (impitoyable) ■ ça balance si vous nous faites chier au moment importun (stratégique).
La victoire contre la fin
La naissance d'un échec.
Gardien du savoir ; naissance douloureuse accompagnée des festivités battant leur plein - nous poussâmes notre premier cri étouffé par le cordon ombilical ; déjà, la vie nous soufflait que nous ne devrions guère crier. Nous pourrions dire que nous n'étions qu'enfant normal en ce bas monde ; mais naître au sein d'un clan renommé n'est pas une réjouissance ; naître dans un clan renommé pour son histoire tragique n'est pas une réjouissance - nous n'étions qu'enfant d'un père issu de la branche principale et d'une mère tiré de la branche secondaire ; de celles "adoptées". Dès nos plus jeunes années, n'ayant qu'atteint avec peine nos six années, nous savions déjà que le sort héréditaire de notre clan ne coulait pas dans notre sang - nous ne pouvions que courber l'échine et nous soumettre avec obéissance à tout ceci ; aurions-nous pu deviner que nous ne deviendrons point fiable pour ce clan ?
Nettoyer,
Astiquer,
Repasser.
Nous pûmes au début toucher ses bras infects pour nettoyer et panser des plaies - nous pûmes au début apprécier le contact humain un tant soit peu, quand cela nous était accordé par nos parents ; tout cela, nous le pûmes, bien entendu. De cela, nous pouvons nettoyer avec efficacité des tâches même brunâtres sur les tatamis ; de cela, nous pouvons essuyer avec rapidité des kimonos les quelques gouttes diffuses ; de cela, nous pouvons étendre avec légèreté les futons ; nous sommes de ménage, et cela, depuis nos plus jeunes années - ce qui nous sert encore aujourd'hui, pour des années et des années encore. Si nous survivons au lendemain, si nous exorcisons avec parcimonie pour ne pas devenir cible à abattre dans notre vie pépère que nous apprécions à notre façon modeste.
Si nous étions de bonnes humeurs, nous pourrions vous dire que nous pourrions penser que l'inversion des mondes est, tout du moins, paraît être, une façon intéressante de voir les choses ; si nous étions de bonnes humeur, nous pourrions débattre à vos côtés de cette optique de la distorsion de l'énergie occulte - nous pourrions aussi vous définir et sortir proprement la définition exacte de - à la place, nous vous dirons simplement qu'elle fait partie de nous, tout comme nous respirons dans ce monde profane, aux côtés des humains ignorants. Elle vit avec nous, elle est la source de notre pouvoir et elle nous est nécessaire pour combattre, pour vivre, pour survivre en ce bas monde, pour des jours et des jours ; tout comme elle fait de nous des cibles mouvantes, tout comme elle fait de nous une nourriture alléchante pour les fléaux souhaitant devenir de plus en plus fort.
Nous ne nous prononcerons jamais de vive voix sur cette question - notre loyauté, aussi mauvaise soit-elle pour notre clan, lui revient en premier lieu ; avec beaucoup d'honnêteté, elle revient avant toute chose à notre famille qui est maintenant sous notre protection, de cette femme à cet enfant - mais nous ne le dirons jamais à haute voix et selon les situations, nous devrons nous plier à plus fort que nous ne sommes ; mais si nous devions émettre un avis, nous ne pourrions que dire que nous suivrons notre clan sur sa position vis à vis de l'Empire; nous prenons déjà l'habitude, et cela, depuis notre plus tendre enfance à utiliser so sumimasen - nous sommes néanmoins curieux de voir ce que l'Orthodoxie effectuera comme manœuvre pour entretenir une meilleure relation ; tout comme ce Zen'nin a si bien réussi ...
Nous ne mentirons jamais - nous fûmes élevés pour être traditionnaliste, nous nous contentons de suivre les préceptes qui nous furent inculqués sans chercher à savoir si l'herbe est plus verte ailleurs ; nous nous contentons de ce que nous savons, de ce que nous pouvons apporter à autrui - nous ne pourrons nullement changer nos habitudes et cela nous convient. Vis à vis des autres clans, nous suivons ce que les adultes ont pu dire dès notre plus jeune âge et nous ne lèverons jamais le premier doigt sur un Zen'nin, même si les énergumènes de Nagoya peuvent nous donner quelques envies de donner des tartes à foison ; nous comprenons que nos actes peuvent avoir des répercussions énormes. Néanmoins, nous savons nous défendre autrement qu'en levant nos poings ; mais nous ne nous leurrons pas - si notre interlocuteur est d'un rang supérieur aux nôtre dans un autre clan, nous saurons respectueusement ne pas l'ouvrir - nos mots peuvent devenir des munitions et nous ne sommes pas nés de la dernière pluie.
Yata no Kagami [ 八咫鏡 ]
nous percevrons l'immensité d'un monde factice ;
si ce n'est réel à l'instant même.
Ne nous étions jamais douté, ne serait-ce qu'un fugace instant que notre propre clan possédait en son sein une part d'ombre aussi mouvante que son histoire n'est ancrée dans les pages noircies par le temps ; jaunâtre à être conservés à même l'air ambiant, lourd et sec de cette bibliothèque immense. Nous n'aurions jamais pu nous en douter puisque nous étions et nous conversons encore aujourd'hui, cette obéissance ancrée dans notre sang ; dans notre corps ; dans nos mouvements - de cette posture à étendre nos doigts, nos paumes sur les tatamis, notre fessier posé à même nos talons ; baissant notre menton vers notre sternum pour mieux supporter de voir apparaître le sol quand nous penchons le haut de notre corps vers l'avant. Enfant habitué à écouter ses aînés avec la plus grande attention que nous le pouvions ; de cette envie de bien vouloir nous faire voir par ceux de la branche principale et comprenant où était notre place en ce monde, en cette demeure immense et si calme ; écoutant les précepteurs dans les salles aménagées pour nous apprendre l'histoire, l'énergie occulte et tous ces mots qui composent le monde dont nous étions nés et qui nous plaçait entre celui d'un profane et d'un exorciste. Il avait suffi de passer un certain seuil d'âge pour comprendre que nous n'atteindrons jamais cette autre branche, que nous resterons perchés sur la nôtre, et cela, jusqu'à la mort frappe à notre porte - ce qu'elle ne saurait tarder ; une simple piqûre sur le bout de notre doigt, une simple sensation de chaleur et des pleurs incontrôlables à la vue de notre propre sang ; nous préférions voir le soleil à travers les fenêtres, les particules fines de poussières fixées dans cet air sans jamais bouger réellement.
Souhaitions-nous braver l'interdit au profit de notre curiosité mal placée et presque malsaine ? Tout nous fut inculqué pour savoir que certains endroits nous étaient interdits, sous peine de représailles assez lourdes - nous étions bien trop jeunes pour comprendre la portée réelle d'un acte et des conséquences qui en découlerait ; mais jamais, au grand jamais, plus que ce jour, la curiosité fut une qualité, bien loin de là. Nous ne faisions qu'effleurer avec un regard presque avide les enfants de notre âge, de ceux possédant ce sort héréditaire si bien conservé et si bien accueilli ; nous étions curieux de savoir quelle sensation cela ferait de faire couler son sang le long de son bras, subtilement refroidi avant de l'utiliser contre autrui - nous nettoyons derrière eux et nous savions pour avoir vu les salles d'entraînement à quel point cela pouvait perforer avec précision une cible mouvante ; nous ne pouvions pas encore savoir à quel point cela était meurtrier, à quel point cela était dangereux pour l'utilisateur, à quel point envier autrui n'était pas bon pour notre développement personnel, à quel point notre curiosité aurais dû nous arrêter à ce moment où nous avons pris ce couteau pour nous faire une entaille qui nous fit bien plus que grimacer en le lâchant. Nous savions que nous ne possédions pas ce sort, alors pourquoi avoir tenté ? Question posée par nos propres parents - déjà lassée de voir que même née en jour de célébrations ; nous ne pourrions devenir une fierté pour eux - que l'amour que certains enfants possédaient en ce monde en embrassant leurs parents, nous ne le connaîtrions jamais et nous nous contentions de cela ; ne pas voir ce que nous n'avons pas nous permettait de ne pas comparer et nous permettait de ne pas pleurer sur un amour parental.
l'acte de vouloir changer de branche ;
mais le rouge gorge n'aurait pas dû.
Nous n'aurions pas dû nous réveiller par ce cauchemar, par cette soudaine envie désespérée de nous laver des impuretés qui nous souillaient en rampant le long de nos membres pour mieux s'infiltrer au creux de notre gorge douloureuse ; nous n'aurions jamais dû nous lever en rampant discrètement pour sortir de notre chambre en refermant doucement le fusuma - pointes des pieds pour ne pas réveiller ceux dormants de beaux rêves sans nul doute. Nous n'aurions jamais dû aller au puits pour nous y déshydrater malgré notre petite peur des bruits environnants de la nature ; nous savions que nous étions protégés des fléaux - nous savions que nous ne risquions rien ; et pourtant, même en connaissant presque les yeux fermés la composition de la demeure où nous étions, nos pieds se calèrent sur un autre chemin. Fatigué et perdu aurait pu nous aider pour nous défendre - mais nous aurions éhontément menti ; et nous n'étions pas le genre d'enfants à mentir aux adultes ; nous aurions peut-être dû, nous aurions sûrement dû - car nous nous dirigions vers un endroit qui nous était formellement interdit ; d'un enfoncement de marches dans l'obscurité la plus totale.
Nos mains sur le mur, n'appréciant guère le ressenti sur nos doigts ; avançant avec précaution, pas après pas, marche après marche, pour descendre toujours plus bas ; l'obscurité se dissipant légèrement quand nous approchâmes d'une lampe à huile, dont la faible lueur nous permit d'en voir une plus loin, une encore plus loin, toujours plus. Nous ne pouvions pas faire marche arrière - quitte à être descendu si bas, nous pouvions bien marcher un peu plus, n'est-ce pas, n'est-ce pas ? ((nous n'aurions jamais dû !))
Un pied devant l'autre, déglutissant avec peine notre salive devenu bien acide dans notre trachée, nous ne savions pas à quoi nous attendre - les fantômes n'existaient pas, ni les monstres, non ? Une porte se dressait au bout de ce long couloir, une porte entrebâillée comme pour laisser le soin à un fouineur de pouvoir regarder par là - nous étions ledit fouineur et nous nous accroupissions, persuadés de ne rien voir qui aurait pu nous choquer. Que nous étions sots ! Nos membres s'entrechoquèrent d'une peur suintant, remontant le long de notre dos pour bien faire claquer nos dents entre elles, d'un tremblement que même la chaleur n'aurait pu soigner ; d'une envie de bille qui nous força à essayer d'avaler plusieurs fois pour ne pas laisser notre estomac régurgitait tout ce qu'il contenait - d'une horreur si palpable que même en frottant nos yeux au calcaire, nous ne pourrions plus jamais effacer de notre cervelle la scène qui se déroulait derrière cette porte. Nous n'aurions jamais dû descendre, nous n'aurions jamais dû entendre ces sons qui nous hanteraient pour des décennies, nous n'aurions jamais dû ne serait-ce que laisser la curiosité prendre place dans notre coeur ; nous aurions dû nous repentir de nos pêchés en les confiant à notre mère avant de commettre l'irréparable. Mais il était trop tard, bien trop tard, tandis que nos jambes lâchèrent, tandis que notre cerveau nous lâcha tout autant, tandis que nous sombrions dans l'obscurité en entendant des pas approchaient vers nous ; nous n'aurions jamais, jamais, jamais, jamais, jamais dû !
à l'aide ...
Par pitié, ou bien voyant nettement que nous étions terrorisés - sans savoir si cela était dû à toute cette scène morbide vue plus tôt dans la nuit ou par la puissance des individus présents dans la pièce présente ; nous écoutâmes avec attention la sanction émise par ces grands qui nous regardaient avec un mélange de dégoût, de colère ou de dépit ; nous entendions très clairement le mot « bannissement » et nous sûmes que nous n'aurions jamais dû désobéir, que nous n'aurions jamais dû naître ; malgré notre corps affaibli, nous nous inclinâmes plusieurs fois, notre morve et nos larmes se mêlant entre elles pour mieux se fondre. Nous nous excusions, nous jurions - nous n'aurions jamais dû - sur tout ce qui nous était cher de ne plus jamais désobéir, nous n'aurions jamais dû ! N'était ce pas la règle la plus basique qui soit de ne jamais prêter serment ? Mais nous ne voulions pas finir seuls, nous ne voulions pas perdre notre famille, nous ne voulions pas perdre ce nom de famille - maudit - ; nous ne voulions rien de cela, alors nous oubliâmes tout simplement cette règle pour nous plier en quatre ; à notre grand dam.
De cela, plusieurs choses en découlèrent ; nous fûmes mal vu, non fiable, par ce clan - nous ne pourrions jamais prétendre à un titre plus honorifique, nous ne pourrions jamais monter dans cette hiérarchie et nous resterons à jamais un sous fifre, si ce n'est un déchet, un bouc émissaire - on nous laissas être diplômé de Nagoya tout simplement car nous fumes soumis et que nous rasions assez les murs pour qu'on nous oublie ; on nous méprisa ouvertement et nous savions que nous le méritions. À peine diplômés, nous préférâmes entrer dans la garde de Chubu pour prouver notre loyauté à ce clan, pour nous échapper de cette prison - de cette résidence, de ces regards omniprésents ; ces souvenirs horribles, ces années à ne fréquenter rien d'autre que des livres en ne voulant et ne pouvant toucher personne, poussa notre mysophobie à se développer - notre corps déjà ensanglanté par tant de lavements intempestifs ; un corps bien développé par ces heures à ne pouvoir rien faire. Notre comportement devient hargneux à tous ceux ou celles osant, ne serait-ce que s'approcher de nous et nous ne prenions plus aucun gant pour ne pas mépriser autrui ; obéissant aux plus hauts gradés tel un bon toutou - mais nous ne rêvions pas, nous n'étions qu'utile et les années passèrent avant qu'on ne nous informe de notre mariage - un soulagement évident par nos parents qui nous laissèrent partir pour Tokyo en sachant pertinemment que nous n'y serions pas le bienvenu. Nous fîmes ce qu'on nous demanda en prenant un appartement à côté de notre femme - sans jamais la toucher, sans jamais ne serait-ce que nous rapprocher d'elle ; nous savions que nous aurions du mal à obtenir un travail, nous savions que nous serions méprisés en cette académie, mais est-ce que cela changerait de d'habitude ? Aucunement. Nettoyant proprement les salles d'entraînement, allant sur des scènes de crime quand nos supérieurs nous l'ordonnaient ; nous ne nous leurrons pas ; ce nom de famille nous souille jusqu'au profond.
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