LANCEMENT DU PREMIER EVENT le 01/04/2024Soyez au rendez-vous !
34
Chamane
Rang 2
Indépendante
· Œil de verre qui permet de voir l'énergie occulte (gadget technologique).
· Revolver (rang 3).
· Revolver (rang 3).
UN BAR
Momoe tient actuellement un bar avec une petite ambiance sympa à Tokyo, qui sert de point de rencontre à tous ceux qui le veulent. Safe place pour tous ceux qui sortiraient un peu trop des normes de la société, en tant que kuso-gaijin qui s'assume, elle cherche à créer cette "bulle en dehors de la société".
MAIS PAS QUE !
Seulement un bar ? Momoe a passé sa vingtaine en Italie avec son père, mafieux. C'est donc là-bas qu'elle a appris à faire de sacrées magouilles, afin de savoir comment obtenir un petit pécule, et tenir un business. Une fois toutes ses ficelles bien obtenues et de retour dans son pays natal, elle s'est décidée à continuer de faire ce qu'elle savait faire, le bar servant uniquement de couverture.
PAS CASÉE, PAS FAITE POUR ÇA
Quoi ? Les femmes non mariées alors qu'elles ont entre 20 et 30 ans, c'est mal vu ? Ça tombe bien ! Momoe en a 34, et elle ne cause plus à sa famille japonaise, elle profite de sa vie tranquille de jeune célibataire accomplie, enchainant souvent les rencontres, en partie grâce à son travail de gérante de bar.
Momoe tient actuellement un bar avec une petite ambiance sympa à Tokyo, qui sert de point de rencontre à tous ceux qui le veulent. Safe place pour tous ceux qui sortiraient un peu trop des normes de la société, en tant que kuso-gaijin qui s'assume, elle cherche à créer cette "bulle en dehors de la société".
MAIS PAS QUE !
Seulement un bar ? Momoe a passé sa vingtaine en Italie avec son père, mafieux. C'est donc là-bas qu'elle a appris à faire de sacrées magouilles, afin de savoir comment obtenir un petit pécule, et tenir un business. Une fois toutes ses ficelles bien obtenues et de retour dans son pays natal, elle s'est décidée à continuer de faire ce qu'elle savait faire, le bar servant uniquement de couverture.
PAS CASÉE, PAS FAITE POUR ÇA
Quoi ? Les femmes non mariées alors qu'elles ont entre 20 et 30 ans, c'est mal vu ? Ça tombe bien ! Momoe en a 34, et elle ne cause plus à sa famille japonaise, elle profite de sa vie tranquille de jeune célibataire accomplie, enchainant souvent les rencontres, en partie grâce à son travail de gérante de bar.
UNE APPARENCE... ORIGINALE ?
Momoe est une grande femme, une TRÈS grande femme. 2m08 de haut, ça la fait rire de voir tout le monde lever la tête pour la regarder.
Un œil... blanc ? Momoe l'a perdu dans sa jeunesse, d'une histoire qu'elle tient secrète lorsqu'elle est sobre, mais qu'elle est ravie de raconter une fois un coup dans le nez. Les chutes et les trottoirs ça crève les yeux... attention !
Et ses cheveux ! Blancs pour casser son aspect japonais, c'est une kuro-gaijin et elle le montre !
OPPORTUNISTE
Une opportunité ? Vous pouvez être surs que Momoe la saisira. Elle n'hésite pas à mettre quelconque morale de côté, ne trouvant pas ces valeurs importantes. "C'est pour les cons, ça, la vie ça va plus loin que des codes de merde ! " Ne comptez pas sur elle pour être tendre ou empathique avec vous. Elle n'est pas non plus sans émotion, mais l'émoi ne fait pas partie de celles qu'elle peut avoir.
GRANDE LOVEUSE
Alors là, peut-être avez-vous trouvé son point faible ? Momoe est une grande loveuse, cherchant à tout prix à plaire et à impressionner les femmes. Le sérieux quitte donc son corps quand une femme à son gout s'approche d'elle, et l’on dirait même souvent voir quelqu'un d'autre qu'elle à ces moments ! C'est son petit jardin secret, ce qui la sort un peu de ce monde un peu trop éprouvant. Elle tient vraiment à son bar pour tout ce qu'il lui apporte. Une vraie bonne bulle de confort.
MAUDITE !
Momoe est maudite, elle ne voit pas l'énergie occulte et ne la maitrise pas. Toute sa force est purement physique, et elle s'en sert surtout pour virer n'importe quelle menace de son bar. C'est son business, à elle, et personne ne se mettra en travers de ce qu'elle veut faire avec.
Momoe est une grande femme, une TRÈS grande femme. 2m08 de haut, ça la fait rire de voir tout le monde lever la tête pour la regarder.
Un œil... blanc ? Momoe l'a perdu dans sa jeunesse, d'une histoire qu'elle tient secrète lorsqu'elle est sobre, mais qu'elle est ravie de raconter une fois un coup dans le nez. Les chutes et les trottoirs ça crève les yeux... attention !
Et ses cheveux ! Blancs pour casser son aspect japonais, c'est une kuro-gaijin et elle le montre !
OPPORTUNISTE
Une opportunité ? Vous pouvez être surs que Momoe la saisira. Elle n'hésite pas à mettre quelconque morale de côté, ne trouvant pas ces valeurs importantes. "C'est pour les cons, ça, la vie ça va plus loin que des codes de merde ! " Ne comptez pas sur elle pour être tendre ou empathique avec vous. Elle n'est pas non plus sans émotion, mais l'émoi ne fait pas partie de celles qu'elle peut avoir.
GRANDE LOVEUSE
Alors là, peut-être avez-vous trouvé son point faible ? Momoe est une grande loveuse, cherchant à tout prix à plaire et à impressionner les femmes. Le sérieux quitte donc son corps quand une femme à son gout s'approche d'elle, et l’on dirait même souvent voir quelqu'un d'autre qu'elle à ces moments ! C'est son petit jardin secret, ce qui la sort un peu de ce monde un peu trop éprouvant. Elle tient vraiment à son bar pour tout ce qu'il lui apporte. Une vraie bonne bulle de confort.
MAUDITE !
Momoe est maudite, elle ne voit pas l'énergie occulte et ne la maitrise pas. Toute sa force est purement physique, et elle s'en sert surtout pour virer n'importe quelle menace de son bar. C'est son business, à elle, et personne ne se mettra en travers de ce qu'elle veut faire avec.
→ Liste de question pour les Chamanes :
1. Qu’est-ce que votre personnage pense de l’énergie occulte ?
Elle a de quoi pouvoir la voir grâce à son œil de verre, et elle aime la voir afin de ressentir une sensation de "contrôle" et de surveillance sur ce qu'il se passe autour d'elle. Elle ne l'utilise pas, du fait de sa malédiction.
2. Quelle est la position de votre personnage par rapport à l’Orthodoxie ?
"Terriblement chiants ces gars, j'aime pas qu'on me dise quoi faire", c'est ce qu'elle vous répondra toujours. Elle ne voit aucun intérêt au fait de s'embêter à suivre des conventions, elle fait ce qu'elle veut, après tout. Qu'ils restent à faire ce qu'ils font dans leur coin, ça ne la concerne pas.
3. Qu’est-ce que votre personnage pense des fléaux ?
Elle a mis du temps avant d'avoir de quoi les voir, et une fois visible, elle a compris qu'ils devraient juste virer de sa vision. Si elle peu se faire un peu de blé au passage, tant mieux.
4. Est-ce que votre personnage est intégré à la société humaine ?
De part sa condition d'"étrangère", elle a eu du mal à s'integrer facilement, ne faisant pas non plus des efforts pour le faire pour autant. Elle se fait surtout des relations grâce à son travail, s'entourant de personnes avec qui elle s'entend bien, sans chercher à faire copain copain avec une société qui ne veut pas d'elle.
1. Qu’est-ce que votre personnage pense de l’énergie occulte ?
Elle a de quoi pouvoir la voir grâce à son œil de verre, et elle aime la voir afin de ressentir une sensation de "contrôle" et de surveillance sur ce qu'il se passe autour d'elle. Elle ne l'utilise pas, du fait de sa malédiction.
2. Quelle est la position de votre personnage par rapport à l’Orthodoxie ?
"Terriblement chiants ces gars, j'aime pas qu'on me dise quoi faire", c'est ce qu'elle vous répondra toujours. Elle ne voit aucun intérêt au fait de s'embêter à suivre des conventions, elle fait ce qu'elle veut, après tout. Qu'ils restent à faire ce qu'ils font dans leur coin, ça ne la concerne pas.
3. Qu’est-ce que votre personnage pense des fléaux ?
Elle a mis du temps avant d'avoir de quoi les voir, et une fois visible, elle a compris qu'ils devraient juste virer de sa vision. Si elle peu se faire un peu de blé au passage, tant mieux.
4. Est-ce que votre personnage est intégré à la société humaine ?
De part sa condition d'"étrangère", elle a eu du mal à s'integrer facilement, ne faisant pas non plus des efforts pour le faire pour autant. Elle se fait surtout des relations grâce à son travail, s'entourant de personnes avec qui elle s'entend bien, sans chercher à faire copain copain avec une société qui ne veut pas d'elle.
En cette fin d’après-midi, on pouvait croiser une femme en train de déverrouiller la porte de ce qui semblait n’être qu’un petit boui-boui vu de l’extérieur. Si vous veniez de ce quartier de Tokyo, vous reconnaitriez aisément cette figure particulière, et vous connaitriez peut-être l’intérieur de ce fameux boui-boui, plus propre dedans que dehors, et pas si insignifiant que ça une fois dans la salle principale. En bref, cette grande dame ouvrait la porte de ce qu’elle possède, c’est-à-dire un bar plutôt tranquille, mais avec sa petite renommée dans le coin. Il était fréquenté par tous types de personnes, du jeune étudiant qui vient pour boire un coup avec ses amis, au plus vieil habitué qui se pointe tous les soirs pour repartir au bord du coma. Les voisins n’y passaient pas souvent, déjà suffisamment agacés par le bruit journalier des clients en train de discuter avant d’y rentrer, ou par les jurons de ceux qui se faisaient sortir de l’endroit. De quoi passer de bonnes nuits de sommeil réparateur... nan ?
Momoe donc, cette fameuse grande dame, revenait d’un tour en ville. À peine entrée dans son humble demeure, et sans même que la porte ne soit refermée, on pouvait la voir arracher son masque transparent et le fourrer dans sa poche. Elle n’aimait pas avoir à porter ça, préférant largement entrainer son système immunitaire plutôt que de le protéger à tout prix.
« Ça, c’est fait, maintenant, mise en place… »
Maintenant à l’arrière du bar, elle passe une nouvelle porte pour se retrouver dans l’arrière-cuisine, une pièce ressemblant plus à un salon privé qu’à autre chose. On peut y retrouver le bureau de la gérante presque vide, à part pour un beau verre et quelques jolis stylos. Rien de très extravagant non plus, cette pièce sert surtout au repos des employés et à gérer la paperasse. Momoe pose sa veste sur un porte-manteau, et la voilà donc habillée sobrement, d’une chemise blanche, cravate rouge et pantalon de tailleur. Elle se regarde dans un miroir, se recoiffe et vient poser sur ses lèvres un rouge carmin. Ses yeux se posent sur sa montre, vérifiant ses timings, pour ensuite venir s’assoir sur le bar, attendant l’arrivée de ses premiers clients. Elle boit un simple verre d’eau, n’ayant pas spécialement envie de commencer à boire aussi tôt. Vu l’heure, les premières arrivées seront ceux qui sortent du boulot, et les étudiants. La suite viendra surement plus tard.
Quelques heures sont maintenant passées, et l’ambiance du bar est loin du silence pesant de l’arrivée de la gérante. Musique, alcool et conversations font un bon mélange, qui ajoutent de la vie à cet endroit si calme durant la journée. Elle est maintenant accoudée au comptoir, discutant avec les têtes qu’elle connait et qui sont récurrentes. Un bruit fait pourtant tiquer son audition, celui de voix qui commencent à s’élever, bon indicateur d’une soirée prête à partir en sucette pour certains. À peine après avoir levé la tête, elle voit maintenant un verre se faire fracasser contre la tête d’un client. Pas si inhabituel, ça arrivait de temps en temps, surtout de la part de petits nouveaux qui avaient eu connaissance de la réputation du bar. Lorsqu’on cherche à accueillir ceux qui se font rejeter, ça entraine souvent l’arrivée de personnes qui se font rejeter pour de bonnes raisons.
« J’arrive, je dois aller gérer un truc…"
C’est ainsi qu’elle laisse le relai aux autres employés, et se dirige vers l’embrouille. Pas de videur dans ce bar, même s’il reste ouvert toute la nuit. La gérante suffit à garder le calme chez elle. Elle s’approche donc, et voit maintenant une table renversée par terre, et un cercle se former autour des nouveaux protagonistes de la soirée. Mais on est chez elle ici, elle gère et elle fait les lois. L’un des deux se retourne, se rend compte de la présence de quelqu’un de nouveau dans ce cercle, mais n’y fait pas gaffe, restant concentré sur sa bagarre, vraiment prêt à en découdre avec son adversaire. Les spectateurs commèrent, on entend dire qu’apparemment, l’un des deux aurait couché avec la femme de l’autre. Aïe. Mais peu importe la raison de l’embrouille, elle n’a pas lieu de se passer ici. Momoe hésite quelques secondes sur sa façon d’agir, mais sa fatigue de la journée la fait venir à l’essentiel. Au vu de la puissance des coups qui s’échangent, c’est une simple bagarre humaine, rien de plus. La réaction est donc toute aussi simple, allant à l’essentiel. N’ayant pas des capacités égales à un humain, elle décocha deux gifles, une pour chaque combattant. Elles suffirent à les faire vaciller, puis tomber. En tant que gérante, le but n’est pas de venir refaire la peinture de sa propriété, mais juste de les faire partir sous le coup de la honte. Elle les attrape ainsi par le col, les soulève, traverse le bar et va les jeter dehors. Une fois cela fait, elle retourne dans la salle comme si de rien n’était, pour aller se replacer derrière le comptoir. Sa nuit finira tout bonnement par être classique, ceci étant le seul événement. Rien de bien spécial donc, la routine…
Momoe donc, cette fameuse grande dame, revenait d’un tour en ville. À peine entrée dans son humble demeure, et sans même que la porte ne soit refermée, on pouvait la voir arracher son masque transparent et le fourrer dans sa poche. Elle n’aimait pas avoir à porter ça, préférant largement entrainer son système immunitaire plutôt que de le protéger à tout prix.
« Ça, c’est fait, maintenant, mise en place… »
Maintenant à l’arrière du bar, elle passe une nouvelle porte pour se retrouver dans l’arrière-cuisine, une pièce ressemblant plus à un salon privé qu’à autre chose. On peut y retrouver le bureau de la gérante presque vide, à part pour un beau verre et quelques jolis stylos. Rien de très extravagant non plus, cette pièce sert surtout au repos des employés et à gérer la paperasse. Momoe pose sa veste sur un porte-manteau, et la voilà donc habillée sobrement, d’une chemise blanche, cravate rouge et pantalon de tailleur. Elle se regarde dans un miroir, se recoiffe et vient poser sur ses lèvres un rouge carmin. Ses yeux se posent sur sa montre, vérifiant ses timings, pour ensuite venir s’assoir sur le bar, attendant l’arrivée de ses premiers clients. Elle boit un simple verre d’eau, n’ayant pas spécialement envie de commencer à boire aussi tôt. Vu l’heure, les premières arrivées seront ceux qui sortent du boulot, et les étudiants. La suite viendra surement plus tard.
Quelques heures sont maintenant passées, et l’ambiance du bar est loin du silence pesant de l’arrivée de la gérante. Musique, alcool et conversations font un bon mélange, qui ajoutent de la vie à cet endroit si calme durant la journée. Elle est maintenant accoudée au comptoir, discutant avec les têtes qu’elle connait et qui sont récurrentes. Un bruit fait pourtant tiquer son audition, celui de voix qui commencent à s’élever, bon indicateur d’une soirée prête à partir en sucette pour certains. À peine après avoir levé la tête, elle voit maintenant un verre se faire fracasser contre la tête d’un client. Pas si inhabituel, ça arrivait de temps en temps, surtout de la part de petits nouveaux qui avaient eu connaissance de la réputation du bar. Lorsqu’on cherche à accueillir ceux qui se font rejeter, ça entraine souvent l’arrivée de personnes qui se font rejeter pour de bonnes raisons.
« J’arrive, je dois aller gérer un truc…"
C’est ainsi qu’elle laisse le relai aux autres employés, et se dirige vers l’embrouille. Pas de videur dans ce bar, même s’il reste ouvert toute la nuit. La gérante suffit à garder le calme chez elle. Elle s’approche donc, et voit maintenant une table renversée par terre, et un cercle se former autour des nouveaux protagonistes de la soirée. Mais on est chez elle ici, elle gère et elle fait les lois. L’un des deux se retourne, se rend compte de la présence de quelqu’un de nouveau dans ce cercle, mais n’y fait pas gaffe, restant concentré sur sa bagarre, vraiment prêt à en découdre avec son adversaire. Les spectateurs commèrent, on entend dire qu’apparemment, l’un des deux aurait couché avec la femme de l’autre. Aïe. Mais peu importe la raison de l’embrouille, elle n’a pas lieu de se passer ici. Momoe hésite quelques secondes sur sa façon d’agir, mais sa fatigue de la journée la fait venir à l’essentiel. Au vu de la puissance des coups qui s’échangent, c’est une simple bagarre humaine, rien de plus. La réaction est donc toute aussi simple, allant à l’essentiel. N’ayant pas des capacités égales à un humain, elle décocha deux gifles, une pour chaque combattant. Elles suffirent à les faire vaciller, puis tomber. En tant que gérante, le but n’est pas de venir refaire la peinture de sa propriété, mais juste de les faire partir sous le coup de la honte. Elle les attrape ainsi par le col, les soulève, traverse le bar et va les jeter dehors. Une fois cela fait, elle retourne dans la salle comme si de rien n’était, pour aller se replacer derrière le comptoir. Sa nuit finira tout bonnement par être classique, ceci étant le seul événement. Rien de bien spécial donc, la routine…
Handn, 19 ans , je fais surtout du RP discord à la base, mais ce monde a fini par m'ennuyer, ne trouvant jamais quoi que ce soit à mon gout. Je découvre donc le rp forum !
Nekyl m'a invitée !
Nekyl m'a invitée !