LANCEMENT DU PREMIER EVENT le 01/04/2024Soyez au rendez-vous !
18 ans
Exorciste
Rang 4
Orthodoxie
· Dague x2 (rang 4).
· Objet d'affiliation à l’Orthodoxie : Nœud sans fin bouddhiste.
· Objet d'affiliation à l’Orthodoxie : Nœud sans fin bouddhiste.
PAUMÉ
Nouvel environnement, nouvelle vie. La ville et ses foules noires, grouillantes. La société occulte et ses innombrables possibilités mêlées de mystères… dire que Jens est paumé serait un euphémisme.
NOUVEL ÉLÈVE
Petit nouveau en première année à Tokyo. Espérons que Jens parvienne à se faire des amis…
BOOMER
Ayant grandi en campagne, et, disons-le, vraiment au milieu de nulle part, Jens n’est guère familier avec un tas de choses. Les nouvelles technologies en font partie… enfin, nouvelles, et pas si nouvelles aussi. Téléphone ? Net ? Nucléaire ? Wah, de vagues trucs dont il a entendu parler au village. Il n’y a jamais trop prêté attention, il s’imaginait finir ses jours comme il les avait toujours vécus jusque là, alors à quoi bon ?
GAIJIN
Un visage marmoréen aux traits délicats et placides, encadré de fils d’or venant flanquer des yeux d’un cobalt profond et ardent. Des caractéristiques bien singulières, et ce d’autant plus lorsque l’on vit parmi les nippons, que la Providence n’à point juger utile de façonner d’une argile bigarrée. Dès lors, comment passer inaperçu ? Si jusqu’ici Jens a été quelque peu gardé des affres de l’épouvante raciale, nul doute que les choses pourraient désormais prendre une tournure bien différente.
Nouvel environnement, nouvelle vie. La ville et ses foules noires, grouillantes. La société occulte et ses innombrables possibilités mêlées de mystères… dire que Jens est paumé serait un euphémisme.
NOUVEL ÉLÈVE
Petit nouveau en première année à Tokyo. Espérons que Jens parvienne à se faire des amis…
BOOMER
Ayant grandi en campagne, et, disons-le, vraiment au milieu de nulle part, Jens n’est guère familier avec un tas de choses. Les nouvelles technologies en font partie… enfin, nouvelles, et pas si nouvelles aussi. Téléphone ? Net ? Nucléaire ? Wah, de vagues trucs dont il a entendu parler au village. Il n’y a jamais trop prêté attention, il s’imaginait finir ses jours comme il les avait toujours vécus jusque là, alors à quoi bon ?
GAIJIN
Un visage marmoréen aux traits délicats et placides, encadré de fils d’or venant flanquer des yeux d’un cobalt profond et ardent. Des caractéristiques bien singulières, et ce d’autant plus lorsque l’on vit parmi les nippons, que la Providence n’à point juger utile de façonner d’une argile bigarrée. Dès lors, comment passer inaperçu ? Si jusqu’ici Jens a été quelque peu gardé des affres de l’épouvante raciale, nul doute que les choses pourraient désormais prendre une tournure bien différente.
GUEUX
Quand certains grandissent au sein d’un tartare cerclé de verre et d’acier, d’autres conversent avec les astres, et ce d’une vue n’étant nullement obstruée par les nues fumeuses et noirâtres de la modernité. Mais parler ainsi serait malhonnête ; la noirceur que les Hommes ont jeté sur les cieux est née de la lumière. Et, de la même manière, à trop s’éclairer, d’aucuns - beaucoup même, oublient la vraie nature des choses: celle de la terre sous leurs pieds, de ceux la foulant.
EMPATHIQUE
a venir
test couleur, ceci est une phrase qui me permet de tester la couleur
test couleur, ceci est une phrase qui me permet de tester la couleur
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test couleur
HANTÉ
a venir
Quand certains grandissent au sein d’un tartare cerclé de verre et d’acier, d’autres conversent avec les astres, et ce d’une vue n’étant nullement obstruée par les nues fumeuses et noirâtres de la modernité. Mais parler ainsi serait malhonnête ; la noirceur que les Hommes ont jeté sur les cieux est née de la lumière. Et, de la même manière, à trop s’éclairer, d’aucuns - beaucoup même, oublient la vraie nature des choses: celle de la terre sous leurs pieds, de ceux la foulant.
EMPATHIQUE
a venir
test couleur, ceci est une phrase qui me permet de tester la couleur
test couleur, ceci est une phrase qui me permet de tester la couleur
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test couleur
HANTÉ
a venir
→ Liste de questions pour les Exorcistes :
1. Qu’est-ce que votre personnage pense de l’énergie occulte ?
Qu’est-ce que
2. Quelle est la position de votre personnage par rapport à l’Empire ?
a venir
3. Comment votre personnage se positionne-t-il au sein des conflits de politiques intérieurs dans l’orthodoxie (clans, enjeux de l’administration : réformisme ou conformisme, etc.) ?
Comment en penser grand chose ? En tous cas, c’est un sacré merdier, ça oui.
1. Qu’est-ce que votre personnage pense de l’énergie occulte ?
Qu’est-ce que
2. Quelle est la position de votre personnage par rapport à l’Empire ?
a venir
3. Comment votre personnage se positionne-t-il au sein des conflits de politiques intérieurs dans l’orthodoxie (clans, enjeux de l’administration : réformisme ou conformisme, etc.) ?
Comment en penser grand chose ? En tous cas, c’est un sacré merdier, ça oui.
- Mémoires:
- Les circonstances de ma naissance restent, aujourd’hui encore, auréolées de mystère. Abandonné, rapté, acheté, ou bien simplement remis à une personne de confiance ? Enfant, j’y ai songé, mais, finalement, cela importe bien peu.
D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours vécu avec grand père (en tous cas c’est comme ça que je l’appelais). On habitait une vieille masure franchement un peu minable. Mais convenable. Largement convenable. Je m’y voyais y mourir dans ce taudis, dans ce trou paumé dans les altitudes d’Hokkaidō.
Le village dans lequel on vivait était l’un des seuls endroits restants sur l’archipel nippone étant un tant soit peu oublié du tentaculaire Léviathan qu’est l’Empire régnant ci-bas ; après tout, qu’y-a-t-il de bien intéressant à tyranniser dans un vieux tas de neige ? Certes, la dissension peut venir de partout, mais certainement pas d’une communauté qui pour une moitié d’entre eux avaient déjà un pied dans la tombe. M’enfin, dans le pays tout le monde se fait un peu vieux vous me direz…
Par chez nous il n’y avait pas grand chose ; des cailloux, mais aucun de précieux, et pas assez de main-d’œuvre pour faire une carrière de toutes façons. Ni les conditions climatiques d’ailleurs. On avait quelques animaux aussi, et des champs, mais comme on se les pêle huit mois sur douze là-bas (plutôt douze en fait) et que le soleil se fait capricieux plus on monte vers le nord, et bien il est difficile de produire à profit.
Ce qu’on faisait bien c’était le saké, par extension le riz, une sorte de genshu bien fort. Bien plus que ce que l’on trouve ailleurs. Le travail manuel, aux champs, avec les bêtes, la menuiserie, la chasse même parfois - pour notre compte ou pour aider les voisins, le quotidien était rythmé par toutes ces choses. Et les aléas de la nature, aussi. Quand il faisait vraiment froid on s’emmitouflait comme on le pouvait, on brûlait des bûches dans nos chaumières et on espérait avoir assez pour passer l’hiver. De grosses tempêtes de neige nous frappaient quelquefois, si bien que lors de celles-ci nombre d’infrastructures partaient en lambeaux. A force, les autorités ont fini par abandonner l’idée de toujours rénover les lignes électriques nous approvisionnant en énergie. Alors, les interrupteurs, les écrans… j’en ai entendu parler, et j’en ai de vagues souvenirs, ceux d’une époque révolue.
Du coup, forcément, l’Empire moi j’ai pas trop connu ; notre hameau était assez inintéressant pour que… on ne s’y intéresse pas, justement. Pour autant, j’ai souvenir d’avoir vu des officiers stationner chez nous par le passé, mais ils semblaient plus intéressés par le fait de boire et vite se casser que de faire la loi. Ceux qu’on voyait le plus souvent c’était les yakuzas. De vulgaires bandits, soyons clairs. Ils venaient d’un village plus grand que le notre en contrebas, à quelques heures de marche. Plus rapide en véhicule. Ils venaient surtout quand le temps était plus clément. Pour commercer qu’ils disent. Ils venaient se mettre des mines, mal nous parler, mal nous regarder, mais ils repartaient avec des caisses d’alcool, et parfois nous ramenaient certains produits comme des vêtements ou autre. Ils n’étaient pas notre seul lien au monde extérieur évidemment, quelques autres jeunes du village (surtout un en fait) faisaient régulièrement la navette. Moi ça ne m’a jamais attiré. Ces gens étaient vulgaires, et puis il valait mieux que je reste ici, grand père prenait de l’âge.
Muten, c’était son nom. Il avait toujours été bon avec moi, m’a nourri, logé, éduqué, enseigné l’écriture, la lecture, le travail de la terre également. Un homme bon, simple, honnête, quoiqu’un peu extravagant. Le bougre était, il faut le dire, un sacré rigolo. Doté d’une verbe incisive, presque acerbe, et d’un sens du cynisme et de l’auto-dérision peu commun, chaque conversation amenait son lot de rires, que ce soit des ragots frivoles, des leçons de vie ou des conversations simplement insensées. Il se plaisait à radoter sur ses belles années, son âge d’or, son ancienne vie citadine, sur ses aventures de jeune homme, odysséennes comme amoureuses en tant que tombeur de ces dames. Aussi, et un peu comme tous les vieux, il s’épanchait en de longs monologues sur la ruine existentielle à laquelle était destinée la nouvelle génération: « De mon temps, les choses étaient bien mieux, les gens plus respectueux… » et bla, et bla, et bla… zzzzZZZZ…. Il restait néanmoins un homme raisonnable et révérencieux, des valeurs qu’il m’a inculquées.
En somme, j’ai été gâté par les Moires. J’ai eu la chance de vivre une vie calme, paisible, bien qu’un peu solitaire. Les populations rurales sont effectivement plus âgées, mais, surtout - et l’évidence est bien trop frappante pour ne point l’évoquer, je sortais du lot par le phénotype. Moi et mes traits caucasiens, définitivement, germaniques ou scandinaves, peut-être, au milieu de cette masse informe, presque terne. Cette petite troupe avait tous les yeux et les cheveux sombres… alors moi, je faisais tâche comme une verrue au milieu de la figure. Evidemment, je m’en suis interrogé, et, ces interrogations, je les ai portées à grand père : soit il n’avait les réponses que je cherchais, soit il ne daignait me les apporter. Mais cela importe peu désormais ; c’est du passé.
Du passé, oui, car, ce jour là…Everything changed when the fire nation attacked.
Un jour de novembre 2034…
La lande était rose et moelleuse, les bottes s’y enfonçaient à chaque pas. Des créatures oniriques et insensées parsemaient les cieux dorés, leurs rugissements retentissant à travers les plaines de ces contrées enchanteresses…
Dans son sommeil, Jens arborait un sourire béat, mais qui, malheureusement pour lui, serait bien vite effacé pour être remplacé par une mine renfrognée.
- Huuuarrghh..! maugréa-t-il dans un grognement plaintif.
Le brave avait beau être du matin, un autre l’était encore plus dans cette maisonnée. Six heures - même pas. Si l’aube était augure du règne d’Hélios, la vie ne l’attendait guère pour suivre son cours. Entre ceux profitant des ombres pour aller à leurs occupations et ceux n’ayant la décence d’attendre son avènement pour commencer leur journée, nombre d’âmes illuminaient les ténèbres terrestres, semblant, à s’y méprendre, se refléter dans celles du cosmos.
- Hmmmmgnnnnnnn.., geignit-il ensuite, étirant ses membres par la même.
Si d’aventure il avait dormi sur un lit, alors sans doute serait-il tombé de celui-ci. Bonne fortune alors qu’il ait dormi sur un futon. La vue encore trouble et l’esprit embrumé, le froid mais surtout le bruit vint rapidement le réveiller. Un rapide coup d’œil vers une vieille horloge le mettait au fait de l’heure plus que matinale.
- Hmmgrrr, aghh… ojiisan ?
Au même temps qu’il disait cela il entamait de se lever,
Ça va faire quelques années que je fais du rp. Je suis tombé sur le votre, j’ai trouvé certains aspects intéressants, du coup je me retrouve à faire une fiche. Au plaisir de rp avec vous prochainement !