LANCEMENT DU PREMIER EVENT le 01/04/2024Soyez au rendez-vous !
22 ans
Chamane
Rang 2
Neutre
· Clé de son dojo (objet simple).
· Une lance qui se transforme en nunchaku a trois branche (arme blanche).
· Système de sécurité anti-intrusions (objet éléctronique).
· Une lance qui se transforme en nunchaku a trois branche (arme blanche).
· Système de sécurité anti-intrusions (objet éléctronique).
Situation actuelle
Moine bouddhiste et shintoïste : En tant que médiateur entre les esprits et les hommes, il vit des donations des croyants, qu’ils soient en nature ou autres. Cependant , même s’il sait cela mal vu, l’homme est entraîneur d’art martiaux et de self défense, et essaye de promouvoir la voie du milieu en partant de la jeunesse sans repères, qui vit sous l’égide impériale et l’œil de dieu. Le problème quand on empêche quelqu’un d’aller dans le sens voulu, on a plus chance des les voir exploser en plein vol, d’une colère sourde et chaude comme un soleil d’été dans le désert. Il essaye d’apporter des solutions, un défouloir pour certains, un vrai apprentissage pour d’autre. Le dojo est connu pour être également un espace d'apaisement, un asile pour les plus faibles, qu'ils soient fléaux ou bien exorcistes, le refuge de maître Rokku vous accueillera toujours avec la même neutralité.
Moine bouddhiste et shintoïste : En tant que médiateur entre les esprits et les hommes, il vit des donations des croyants, qu’ils soient en nature ou autres. Cependant , même s’il sait cela mal vu, l’homme est entraîneur d’art martiaux et de self défense, et essaye de promouvoir la voie du milieu en partant de la jeunesse sans repères, qui vit sous l’égide impériale et l’œil de dieu. Le problème quand on empêche quelqu’un d’aller dans le sens voulu, on a plus chance des les voir exploser en plein vol, d’une colère sourde et chaude comme un soleil d’été dans le désert. Il essaye d’apporter des solutions, un défouloir pour certains, un vrai apprentissage pour d’autre. Le dojo est connu pour être également un espace d'apaisement, un asile pour les plus faibles, qu'ils soient fléaux ou bien exorcistes, le refuge de maître Rokku vous accueillera toujours avec la même neutralité.
Homme de foi, et d’une confession qui n’existe que dans certains temples reculés du tibet, l'éveillé est un bon samaritain, mais pas niais pour autant. Il arbore la vie avec une grande spiritualité, s’exprime souvent en des termes singuliers et sibyllins, prônant la paix dans le monde et les ménages, il aime apaiser les colères les plus furieuses, les haines les plus tenaces, et milite toujours pacifiquement. Pour lui, c’est l’amour qui vaincra un jour, toujours. Il arbore un sourire qui fait chaud au cœur, et ses paroles agissent souvent comme un baume sur les esprits les plus échauffés, échaudés, égratignés. Si les traumas sont des blessures, il en est le pansement. Et en plus de toujours agiter avec beaucoup de dignité sa croyance ferme de l’amour fraternel, mondial et omniprésent, il le défend bec et ongle. Frappez-le, il ne répondra que par plus d’amour. Donnez-lui une claque sur la joue droite, il tendra la gauche. Pour lui, il est impensable de frapper, ou de blesser quelqu’un, sans se faire du mal à lui-même en premier lui.
Puisque nous sommes tous connectés, organismes vivants et palpitants comme des milliers de cœur qui seraient soudés par notre esprit ; Ses croyances le poussent à toujours encaisser, que ce soit les mots ou les actes des autres. Quelque part, il a trop peur de sa propre part d’ombre pour ne pas rester l’éternel lumière du monde. On lui a apprit très jeune que la voie du milieu, entre les extrêmes, est toujours la meilleure …Malheureusement lui-même ne suit pas se précepte, par choix parfois ou par impossibilité éthique et morale, car il restera un parangon d’humilité, de joie et de paix. Zen, relax, il travaille au rythme qui l’arrange, sans jamais se presser. Pour lui chaque chose doit se faire dans un temps qui lui est propre, et ne pas respecter la temporalité qui nous est imposée, est une vraie erreur.
Lui-même ne se sent pas irréprochable, et se sent parfois trop direct, franc du collier, entier et nature. Si Rokku serait une figure géométrique, il serait une ligne droite. Droit par sa nature et ses croyances, mais aussi le plus rapide moyen d’arriver quelque part.
Et cet ailleurs, pour lui, se divise en plusieurs branches ; Le monde des idées, là ou tout est possible pour tout le monde, même le pire et surtout le meilleur éspère-t-il. Le monde des paroles, là ou l’on peut blesser ou faire cogiter par ses simples idées. Et le monde des actions, résultant et mélange de tous les mondes existant.
Pour lui, quand on est en accord sur ses trois mondes, ses trois pans et plans de l’existence, l’on ne peut qu’être élevé, voir éveillé, spirituellement et arriver, tendre vers le meilleur que l’être humain peut offrir. Si l’on s’attèle à être un peu plus bon le lendemain que la veille, alors on progresse et l’on est sur la voie du milieu.
Son cœur est solide, sa force mentale est incroyable, et ses convictions sont fortes. Son verbe est haut, pas ampoulé, proche des gens, gentils et incroyablement bienveillant.
Rokku est sur la voie du milieu, celle qui caresse et qui apprend, celle qui se fait tuteur et modèle des autres. Elle est stricte et demande la rigueur, quelque chose qui lui servira toujours dont il est l’un des représentants et chercheurs, qui continue de creuser peu à peu les fondations du monde comme il aimerait le voir tourner.
Droit, sans embûches ni guerres, sans royaumes ni frontières.
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→ Liste de question pour les Chamanes :
1. Qu’est-ce que votre personnage pense de l’énergie occulte ? Je pense que si quelque chose existe de manière naturelle dans notre environnement, c'est qu'il a sa place. La nature impérieuse du monde qui nous entourent est une des seules règles que l'on peut connaître et appréhender de manière innée. Le rapport entre l'homme et l'énergie occulte est problématique du fait d'une nature belliqueuse de notre chère humanité. Pour les initié, elle peut être un don, ou un aberration. Pour ceux qui la connaissent bien, elle est un outil que l'on peut utiliser
Un outil n'a pas de volonté, un outil ne discute pas, seules les mains qui l'utilisent en font quelque chose de bien ou du mal.
2. Quelle est la position de votre personnage par rapport à l’Orthodoxie ? Neutre stricte. Je ne connais pas trop ses hommes qui combattent le mal par le mal. Moi je préfère encore purifier que détruire, et cela n'aura de cesse de me poursuivre, malgré ma nature, malgré tout, toujours.
3. Qu’est-ce que votre personnage pense des fléaux ?
Pauvres âmes égarées, perdues, qui ne sont pas différent des hommes qui peuvent se fourvoyer, quand on regarde la société humaine qui s'autodétruit, peut on vraiment se plaindre que quelques fléaux apparaissent pour nous aider ? Finalement, c'est nous qui créons les monstres que l'on combattra le lendemain, cruelle ironie n'est-ce pas ?
4. Est-ce que votre personnage est intégré à la société humaine ? Pas vraiment, il est surtout au temple bouddhiste de Tokyo, et pour le moment l'on a pas encore entendu parler de lui dans les états et les mondes qui se superposent les uns sur les autres au japon.
Le bâtiment n'était pas bien grand. Sept mètres de côté, deux de hauteurs, pour une profondeur de quelques mètres. Taillé dans du bois, et du papier, une porte vous surplombait de toute sa hauteur, lançant le défis de la faire grincer et pivoter sur ses charnières. On y accédait via une longue promenade dans les campagnes tokyoïte, dans un temple iconique situé en plein cœur d’un parc. Guère plus qu'une guérite. Guère plus chaude que des cendres, il y'avait néanmoins un âtre dans lequel faire du feu, accueillant les branches des pins qui encerclaient les environs, presque menaçant par leurs branches entrecroisés, comme des gardes refusant l'accès à ceux qui ne méritaient pas de passer. Le parc entourant l'édifice était bucolique, des animaux passaient par là, toujours, et on y voyait des traces de grues, comme de chats ou de chiens. La vie foisonnait dans les environs, comme si la guerre n'approchait pas, n'existait pas, n'avait pas d'emprise sur ce petit lopin de terre meuble. Resistance de la mère nature contre ses enfants turbulents, les oiseaux chantaient sur la route, donnant de la voix pour savoir qui allait avoir le droit de s'envoler, qui pourrait manger ce que leur mère ramenait, ou pour le simple plaisir de faire vibrer les voyageurs qui passaient par là.
Rokku montait. Tenue de tissus noirs, dorure sur le torse et des gants. Chaque pas l'approchait un peu plus de la sérénité. De l'éveil. De sa spiritualité. Chaque pas l'allégeaient d'un poids sur ses épaules, redressait sa tête, et jouait des épaules.
Il aimait accomplir ce rituel chaque jour, venir se purifier ici, lui faisait du bien. Méditer. Relâcher la pression de la veille, durant une journée plus difficile qu'il n'aurait crût, ou bien plus inextricable, plus éprouvante qu'à l'accoutumée. Ce chemin, il le connaissait par cœur, et aurait pu l'emprunter les yeux fermés. Ce sont ses habitudes qui définissent un homme, et Rokku ne dérogeait pas à la règle, il était même le parangon de cette expression. Un homme d'habitude, qui pourtant se trahissait en changeant chaque jour qui se faisait… Tout simplement parce que suivre des règles trop strictes était la porte ouverte à la tentation.
Chaque jour unique, un cadeau, un don, passant comme le précédant, et le suivant qui se répétant sans jamais se suivre. Terminant sa ballade sous les arbres, il passa le pas de la porte du côté gauche par le pied senestre, comme le voulait la tradition.
Le bâtiment sentait le vieux bois, et l'huile, l'encens et les fleurs. Il se dirigea vers le petit bureau assez bas, qui se trouvait devant un futon, et qui emplissait la pièce de son austérité, sa droiture, et de son bois de merisier. Il ouvrit la fenêtre, des volets en papiers, et un pan de mur qui coulissait. L'air entra dans la pièce, l'humidité s'engouffra, et la nature sembla s'inviter dans la petite masure. Les insectes courraient le long des cadres, entraient en voletant sans se soucier de Rokku.
Il fit gassho, et s'inclina devant l'autel. Il entra dans la pièce de zen, où se trouvait déjà un vieil homme à l'air plus endormis, qu'en état de méditation. Il salua tout de même poliment son homologue, un compagnon de méditation. L'homme portait une tenue blanche, avec une ceinture grise et des sandales noires. Une longue barbe blanchie par les ans, et une fasciée typique des moines les plus zélés, en faisait une pièce essentielle du tableau méditatif du boudhiste. Il se mit en position et inspira, puis expira. Une nouvelle inspiration, le monde s'écoulait à travers lui, et une nouvelle expiration, les énergies circulaient à travers lui. Il se commença à faire le vide, sa résolution plus forte que son envie de réfléchir. Il se concentra sur une seule chose, et médita. Il sentait sa perception du monde changer, ses capacités sensitives évoluées, ses sens s'aiguiser. Il lui semblait pouvoir capter une sorte de rumeur, celle du monde, qui l'appelait.
Toujours en Seiza, il s'oublia. Il se mit en retrait. Il se fit spectateur des gens, des évènements, et de l'univers qui l'entourait. Il n'était plus un homme, il était une sorte de statue, figée dans le marbre, son expression était empreinte de beaucoup de dignité.
Inspirer. Monde.
Expirer. Energie.
Calme et rigueur. Deux qualités essentielles à la méditation. Calme de l'esprit, rigueur de l'âme. Une âme saine dans un corps sain, une volonté de s'enticher du monde qui vous entoure. Se détacher des autres, tout en restant proche d'eux. Savoir prendre du recul tout en oubliant pas les petits détails qui font tout la structure d'un tableau psychique. Rokku était passé maître dans l'art du zen depuis des années, ayant autant étudié sa philosophie, que sa pratique. Cette rumeur dans ses oreilles, ce murmure du monde dans lequel il avait grandi, ces sensations fugaces et ses ressentis tout aussi insaisissable que l'eau d'une rivière, l'aidaient souvent à prendre des décisions, à savoir comment agir face aux difficultés, et aux tracas quotidien. Ne jamais se laisser déborder, toujours savoir faire face. Son énergie occulte n'était qu'auxiliaire, prolongement de sa vérité, de sa volonté, de ses vindicatives pensées. Serviteur zélé, il coupait court au débats, savait quand faire chanter son métal, quand blesser et quand achever. Ils se parlaient, sachant l'un comme l'autre que leur existence était lié.
Alors quand entra une entité inconnue dans l’antre des adaptes du zen, un homme ou autre choses dont l'aura guerrière, ne laissait aucun doute sur sa nature, pas un œil ne tourna vers lui. Tous restèrent concentrés sur le fil de leurs pensées, comme un instant d'éternité capturé au tréfonds de leur âme. A peine vit-on un changement de posture chez le vieil homme et quand à Rokku, son fasciés changea d'expression de manière très subtile. Tous se reconnurent les uns comme les autres, comme des pratiquants expérimentés de l'art de la méditation.
Pourtant, bien que cela ne changeait rien, cela changeait tout. En présence d'un être aussi caractéristique, aussi charismatique… Ca ne pouvait être que lui.
Etendant sa conscience de l'autre dans son art du zen, Rokku entrevit des choses, sentit d'autre, et une légère brume de sueur apparut sur ses bras, une chaire de poule caressant son échine, le long de son dos, lui annonçant clairement la couleur ; L'être qui venait d'entrer n’avait rien d’humain … Il n'en trembla pas, mais peu s'en faut, que le self control, le sang froid, et l'honneur, chevillé au corps le lui permirent.
L’ancien dans la pièce quitta les lieux, comme s’il avait vu un démon, mais Rokku n’avait toujours pas ouvert les yeux, et dis de sa voix douce et mélodieuse, un sourire quasi extatique…
Toc toc toc.
Trois coups sur le sol en bois.
- Qui est la ?
Un vieux qui fait du rp depuis fiooou, longtemps. La passion est tenace et j'espère que vous aimerez la lecture de ma présentation autant que mes futurs rp ! Des bisous.