JUJUTSU KAISEN RPG///DOMAIN EXPANSION///ARC I : BIG BOOM THEORYPLATEFORME RP///ESPACE COMMUNAUTAIREIL EST TEMPS POUR VOUS D'ÉTENDRE VOTRE TERRITOIREJJK RPG
Qu'est-ce que JJK RPG ?
Jujutsu Kaisen est une œuvre jeune, parue en 2017, mais la critique et le public s’accordent pour dire qu’il s’agit déjà d’un nouveau classique du shônen. En un sens, il est le digne héritier de Hunter x Hunter ! Sauf qu’il se déroule dans le monde réel, à notre époque actuelle. Et c’est peut-être ce qui rend ce manga encore plus intéressant.

Sublimer le fantastique dans le shônen est la prouesse que réalise le manga de Gege Akutami. Nous avons choisi de prolonger cette proposition artistique. Jujutsu Kaisen RPG offre une expérience unique dans un univers original directement inspiré du manga éponyme et de notre monde actuel. À mi-chemin entre la sci-fi d’anticipation et l’urban-fantasy, nous faisons le choix de mettre en avant une uchronie à la fois punk et spirituelle. Un monde qui ressemble à notre futur proche et qui propose une nouvelle visite des thèmes abordés par Jujutsu Kaisen. Plus qu’un RPG, c’est un récit philosophique interactif qui est proposé.

Trois histoires entremêlées, trois sociétés superposées : celle des profanes, qui ne maîtrisent pas l’énergie occulte ; celle des exorcistes, qui maîtrisent et contrôlent l’énergie occulte ; celle des fléaux, êtres malfaisants constitués d’énergie occulte.

Neuf factions sont représentées à travers les différents mondes. Des tensions nombreuses apparaissent et persistent entre elles, mais une menace commune les met toutes sur le même niveau de danger : le retour du plus grand fléau de tous les temps, communément appelé “la Fin”.

La société des profanes :
  • L’Empire du Nouveau Japon, devenu une dictature après la crise économique mondiale de 2025, a un contrôle total sur sa population et possède de nombreuses polices

  • Insidious, considéré comme un cyber-État, est une organisation secrète de hackeurs qui s’est emparé des Internets

  • La société exorciste :
  • L’Orthodoxie exorciste, secte blanche, est une institution bouddhiste ancestrale qui gère l’énergie occulte au Japon et plus largement en Asie ; elle produit les écoles, les diplômes d’exorcistes et fonctionne sur l’autorité des 7 clans exorcistes.
  • L’Eglise Noire, secte noire, rassemble des Maître des Fléaux révolutionnaires qui luttent contre l’Orthodoxie et l’Empire du Nouveau Japon en perpétrant des attentats terroristes dans les grandes villes.
  • La Cabale de l’Harmonie, dont le nom n’est même pas assuré, est une mystérieuse secte noire shintoïste qui serait en train de s’infiltrer dans les différents sphères de pouvoir.

  • La société occulte (fléaux) :
  • La Pénurie est un fléau né de la peur du manque. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Afrique, le Moyen-Orient, l’Indonésie et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • L’Épidémie est un fléau né de la peur de la maladie. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Inde, une partie de l’Amérique du Sud et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • La Captivité est un fléau né de la peur de l’emprisonnement et de l’esclavage. Elle forme un empire occulte qui règne sur l’Amérique du Nord, l’Europe de l’Ouest, et une partie du Japon et cherche à se répandre.
  • La Guerre est un fléau né de la peur du conflit. Elle forme un empire occulte qui règne sur la Russie, la Chine, l’Europe de l’Est et une partie du Japon et cherche à se répandre.

  • Que ce soit dans le monde matériel ou dans les mondes occultes, tous ces groupes se vouent, chacun à leur manière, à l’extension de leur territoire. Les joueurs auront donc tout le loisir de venir impacter ces intrigues en mouvement : aider les factions, devenir leurs chefs, les détruire, en créer de nouvelles… en prévision des troubles à venir.
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    01/02/2024 : Début du mois d'ouverture de JJK RPG.

    24/03/2024 : Fin de l'ouverture de JJK RPG. Lancement officiel.

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    Momoe Senatore
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    - Grande dame borgne de 2m08
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    Lun 11 Mar - 17:25





    Au Japon, on fait comme à la maison



    Tokyo, 2028.

    Bien, voilà que la "kuso-gaijin" s'était retrouvée bloquée dans son pays natal depuis quelques mois. Les mentalités avaient changé depuis son départ pour l'Italie, et ce que le Japon était devenu lui faisait grincer les dents. Voilà qu'on la traite comme une merde, une immonde étrangère qui vient envahir l'île. Elle est chez elle, putain ! Ces conventions sociales sont idiotes, pourquoi est-elle revenue, même ? Quelle sale idée que de vouloir ouvrir son propre business ici... Mais l'ex-mafieuse ne voulait ni suivre les traces de son père ni empiéter sur son territoire, alors quoi de mieux que de se lancer dans un autre pays ? Aucune concurrence possible avec sa famille, et un départ de zéro. Ce n'était peut-être pas la meilleure solution, l'optimisme de la jeune femme avait été trop grand, mais il est trop tard pour faire marche arrière. Faire venir un bateau ou un avion dans un pays aussi militarisé était une mission suicide, alors autant attendre la réouverture en se faisant de l’argent.

    Son business plan était simple : un bar. Un... bar ??? C'est quoi cette reconversion professionnelle ? Qui passe d'usurier maître de la production de cocaïne dans le nord de l'Italie à barman ???? Pas Momoe, nan. Dans un pays aussi strict que le Japon, se faire attraper avec un tout petit peu de consommation pouvait être synonyme d'aller direct derrière les barreaux ! Il fallait être précautionneuse, et se cacher derrière un autre business. Puis, tout le monde aime aller traîner au bar, surtout la grande amatrice de boisson que nous suivons actuellement ! L'Italienne avait ficelé son plan, et partait à la recherche d'un prêteur sur gages dans un quartier foireux de sa ville. Dépendre des autres n'était pas agréable, mais il fallait bien commencer quelque part !

    "Mon japonais est toujours aussi rouillé, je vais passer pour une idiote..."

    Ah oui, nous sommes il y a 7 ans, vous pensez bien que la hāfu a eu le temps de changer, depuis. Les efforts d'intégration à l'époque ont fini par s'en aller avec le temps passé ici... Momoe conservait sa grande taille et ses cheveux teints en blanc, mais son cache-œil était présent de manière permanente sur son visage, masquant ainsi sa différence. Évidemment qu'elle attirait le regard, mais la grande dame faisait tout son possible pour éviter ça.

    Une fois arrivée à destination, la négociatrice pousse la porte, prête à faire affaire. L'usurier qu'elle va rencontrer peut ainsi la voir, les bras croisés et le regard perçant, celui d'une femme qui souhaite atteindre son but, sans passer par huit chemins. L'immigrée avait cherché à se faire propre sur elle, pour inspirer la confiance. Qui irait prêter de l'argent à quelqu'un sapé comme un sac ? Sûre d'elle, et ne voulant pas passer pour quelqu'un qui se serait perdu, l'entrepreneuse prend la parole, baissant légèrement son buste pour saluer son interlocuteur.

    "Bonjour, je suis là pour vous faire une requête."
    Momoe Senatore
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    — [...] serait donc approprié cette capacité à être, sans naissance et sans mort, et à demeurer, hors de l'espace et du temps ;

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    Kohaku Hayabusa


    En plus de manier la lame, il sait transformer les mille en millions.

    Locaux de la Hayabusa Motorcycle Facility, 14h22







    iiAustère est l'ambiance dans les locaux de la Hayabusa Motorcycle Facility. Je ne sais pas qui t'as mis sur le coup, pour trouver cet endroit, mais je ne penses pas que c'est à cela que tu t'attendais en arrivant. Chacun de ces types à l'air d'être un repris de justice, leurs têtes balafrées, marquées par la vie, donnait une toute autre ambiance à cette petite concession pour deux roues. Si tu es assez attentive pour remarquer qu'il manque un annulaire à certains d'entre eux, tu comprendras bien assez vite que tu ne te trouves pas dans un simple endroit.

    T'as été escortée, de manière plutôt grossière certes, mais ils t'ont emmenée jusqu'à l'endroit où tout se jouera : dans ce vestibule avec pour simple compagnie, une fontaine à eau sans gobelets pour s'en servir. Face à toi, il y a une porte, où tu peux clairement lire l'inscription "Money Maker" écrit en lettres dorées sur une petite pancarte accrochée dessus. Te voilà à attendre, seule, avec pour seule compagnie d'occasionnels cris de rage qui résonne de derrière la porte, ponctués d'insultes et d'autres drôleries.

    La porte s'ouvre en trombe, et voilà que face à toi apparaît un homme en costard, vêtu d'un cache oeil. Téléphone dans les mains, il ne relève même pas la tête pour te donner l'heure. Tout ce que tu peux entendre, c'est divers petit bruitages. Des pièces qui sont encaissées, des notifications et de temps en temps, tu peux l'apercevoir en train de tapoter frénétiquement sur son écran tactile. « C'est combien ? »

    Cette question t'es adressée sans équivoque, il ne t'invite même pas à t'asseoir ni même t'offre quoi que ce soit pour te permettre de te rafraîchir. L'homme semble complétement désintéressé, obnubilé par son mobile, il ne semble même pas s'être rendu compte de quoi que ce soit. T'aurais pu être un fléau qui se présente face à lui, ça n'aurait rien changé, il t'aurait donné le même degré d'attention à toi, qui pénètres dans ces lieux sans t'être introduite auprès de qui que ce soit au préalable.

    Kohaku semble avoir en horreur les rendez-vous imprévus.

    « A entendre ton accent, t'es clairement pas d'ici toi, donc t'es une Kuso-Gaijin; c'est ça ? T'es là pour piquer l'pain des p'tit japonais ? » il décroche momentanément l'oeil de son téléphone. Tu peux le ressentir qui te dévisages, te détailles de bas en haut comme si t'étais qu'un morceau de viande. « Ehh... au moins t'as fait l'effort d'être présentable, c'est un bon point. » Il range finalement son téléphone dans sa poche, après qu'un son qui fait penser à un "game over" retentit. « Putain... »

    Il baille, c'est bientôt l'heure de la sieste pour lui, il espérait que cette histoire se règle rapidement, qu'elle lui explique son plan, qu'il lui réponde "non" et que tout le monde puisse retourner vaquer à ses occupations... mais il n'était pas là pour expédier les clients potentiels, mais pour représenter le clan Hayabusa.

    « Pardonnes mes manières, je suis Hayabusa Kohaku, je représente les intérêts de la famille Hayabusa. J'suis leur comptable, leur avocat... trésorier, peu importe l'appellation : je suis celui qui gère les chiffres. Et toi, t'es qui ? Qu'est-ce que tu nous veux ? »

    La porte de son bureau ne t'es pas encore ouverte, c'est à toi de faire en sorte qu'elle le soit. Les cartes sont entre tes mains Momoe.


    Résumé de la négociation

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    Mer 27 Mar - 11:48





    Au Japon, on fait comme à la maison



    L'ambiance dans ce lieu est... étrange, c'est le moins qu'on puisse dire. On l'avait accompagnée dans un vestibule et lâchée là, face à une porte.

    "Money Maker, hein... Eh beh..."

    Alors qu'elle pensait rester seule avec ses pensées en attendant la venue du créancier qui l'endetterait peut-être jusqu'à la fin de ses jours, voilà que des cris se mettent à passer à travers l'entrée de ce qui semblait être son bureau. Sacré personnage, donc, va pas falloir s'amuser à le pousser à bout, vaut mieux rester tranquille...

    Quand Momoe, à force de fixer le mur, commençait doucement à s'impatienter, voilà qu'elle fut surprise par un grand bruit, celui d'une porte s'ouvrant en trombe. Son dos, qui était posé contre la cloison derrière elle, s'en détache rapidement, afin d'être bien droit afin de ne pas passer pour quelqu'un qui ne sait pas se tenir. Un petit homme en sort, les yeux rivés sur son téléphone et lui adresse sèchement la parole, sans un bonjour. À la place, il se permet de juger son accent pour la traiter d'étrangère, clamant haut et fort qu'elle était là pour piquer de l'argent à ses semblables ! Nan mais, alors qu'elle compte justement offrir son savoir-faire !

    La sensation du regard sur son corps lui fait froncer les sourcils, n'étant pas spécialement contente de voir cette étincelle dans les yeux de l'usurier. La surprise, c'est habituel. Mais là, c'est autre chose... eurk.

    Quand enfin, son interlocuteur décide de lever les yeux de son portable, voilà qu'il se met à changer de ton du tout au tout ! Devenant maintenant bien plus calme, il s'excuse même et se présente correctement ! Pfiou... tant mieux.

    "Allez, on reste calme, et polie."

    "Senatore Momoe, née au Japon d'une mère Japonaise, je viens vous voir parce que j'ai besoin d'un financement pour commencer mes affaires. J'ai fait un long voyage qui m'a appris des choses, des compétences qui pourraient relever le niveau du marché japonais à ce sujet. Non pas qu'il soit mauvais, mais la réglementation trop stricte entrave le marché, et les consommateurs ne sont pas prêts à se mettre en danger pour une pauvre farine qui n'a presque aucun effet à part vous filer un vilain mal de tête. En plus de ça, avec un bar qui me servirait de couverture, trouver des clients sera bien simple, en faisant bien attention à ne pas tout centraliser non plus."

    C'est la réalité, en soi ! C'est juste un peu enjolivé, l'Italienne n'étant pas forcément aussi honteuse de sa double nationalité. Il fallait bien transformer les "vacances chez papa" en voyage d'affaires, où elle a appris les ficelles du métier... Même si en soi, vu le nombre d'aller-retour entre le nord et le sud, on pouvait compter ça comme du voyage d'affaires. Vanter ses talents de chimiste allait peut-être l'aider, même si elle restait assez évasive sur la question, au cas où l'homme en face d'elle soit fermement antidrogue, ce qui la mettrait bien dans la mouise.

    "Vous n'êtes pas sans savoir que la manière dont le monde appelle ceux qui s'amusent en groupe avec l'illégal est "mafia", non ? Même nos Yakuzas sont appelés "mafieux japonais" à l'international... C'est exactement de là où je viens, même si j'ai eu envie de changer d'horizons, et de rejoindre ma terre natale, je ne compte pas faire d'erreurs de débutante."

    Allez, hop ! C'est au tour de la qualité d'ex-mafieuse de se faire vanter ! Bah oui, c'est sûr qu'il est mieux de ne pas laisser ses cartes de côté, autant les jouer !

    "150 000 ryos, je ne suis pas là pour vous mentir sur mes objectifs afin de vous berner et toucher la bonne somme. Si je devais investir dans un projet, je n'aimerais pas spécialement que l'on se moque de moi."

    résumé de la négociation :
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    Lun 8 Avr - 22:31





    Kohaku Hayabusa
    En plus de manier la lame, il sait transformer les mille en millions.

    ▬ Locaux de la Hayabusa Motorcycle Facility, Tokyo, 14h22




    ... Pour une petite, plutôt grande finalement, Gaijin, tu as du répondant, quelque chose qui a tendance à piquer l'intérêt de Kohaku, qui de la main droite dégaine une cigarette de son veston. Elle va droit au but, quelqu'un qui n'a visiblement pas de temps à perdre est une aubaine pour quelqu'un comme lui... enfin... « 150.000 ryos ?! » Son visage se crispe, il marque un pas en retrait en affichant un air de dégout. « Et puis quoi encore ? Vous croyez qu'il suffit d'débarquer chez moi, bien habillés et m'raconter vos souvenirs du passé en pensant que ça m'intéresse ? » De nouveau, tu peux sentir son oeil unique qui te décrit de bas en haut, puis alors qu'il semble t'éviter momentanément du regard il souffle. « Sans dec, tous les mêmes ces putains d'étrangers... »

    Sans un mot, il t'ouvre la porte de son bureau et y pénètres, toujours sans politesse, il ne daigne même pas t'inviter à entrer, mais te sommes de fermer la porter derrière toi. La pièce est un bureau tout ce qu'il y a de plus normal, sur des étagères trônent des gants, casques et autres accessoires de moto. Dans le fond de la pièce, il prend place derrière son bureau, s'assoit sur son fauteuil et croise les jambes. Avachi au fond du siège, il attrape un briquet qui traînait sur la table et embrase sa cigarette. « Se-na-to-l(r)e-san, c'est ça ? Et vous voulez faire croire à qui qu'vous êtes d'ici ? Métis ou pas, ça fait d'toi une putain de Kuso Gaijin. » Ses mots sont crus, mais tu ne ressent pas réellement de jugement derrière ceux-ci... en fait c'est comme si.. « Tu vas devoir oublier tout ça si tu veux bosser pour nous. On est en 2035, c'est terminé les ambiances chapeau melon et long imper, puis quoi encore ? Tu vas m'citer les affranchis ? Il va falloir s'A-DA-PTER ! » ... un conseil ?

    Il se redresse sur son siège, et pose les coudes sur le bureau, ses mains viennent se croiser pour qu'il puisse y reposer son menton. « Alors, tes p'tites histoires de mafieux et de "Yakuza", tu les oublies... compris ? » Son ton change du tout au tout, cette fois, ça sonne réellement comme une mise en garde.

    « Bien, on reprends dès le début, tu veux bien ? » Il tire une longue bouffée sur sa cigarette, avant d'expulser un nuage de fumée blanche dans la pièce. « Parles moi franco : pourquoi toi et pas une autre ? Tu penses qu'il y a pas d'autres rats plus méritant que toi dans le coin ? » Il s'enfonce à nouveau dans son siège, commence à jouer avec sa clope dans la main pendant qu'il poursuit. « J'veux dire, c'est génial, tu connais les lois du marché... ça nous fait déjà une étape d'avance... mais concrètement... qu'est-ce que tu feras d'mes sous ? Qui m'dis que tu vas pas simplement te tirer avec mon pactole et disparaître à tout jamais ? » Il se frotte le menton... « Dans mes souvenirs, ça s'est plutôt mal terminé pour le dernier qui a tenté ça... » Il sourit brièvement, mais ne laisse pas de temps pour t'offrir une opportunité de réponse. « Et puis qui me dit que tu vas pas tout simplement nous dénoncer à la police ? J'sais même pas qui t'es, tu arrives chez moi et me propose de prendre part à des activités pas très nette... non non non. Il nous faut des garanties, car pour l'instant : à part des promesses, j'entends rien de concret dans tout ça ! »

    Il écrase sa cigarette dans un cendrier disposé sur le bureau, puis, sort son paquet de la veste intérieur de son veston pour en sortir une nouvelle. Paquet qu'il laisse sur la table, à ta disposition. « Sert toi, ça pourrait être la dernière fois qu'on a l'occasion d'se voir. »



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    Lun 15 Avr - 19:18





    Au Japon, on fait comme à la maison



    Bien, au moins elle a pu entrer dans le bureau, c'est un bon début... Mais en voyant le ton de son interlocuteur du tout au tout, Momoe comprend la bêtise qu'elle a commis. Mince, c'est vrai que dans certains cas, les yakuzas sont traités comme des héros, mais pour la majorité de la population, ils restent des criminels à qui on ne veut pas faire affaire... Ça reste quand même assez étrange, qu'une entreprise de moto flirte avec l'illégal tout de même, ils devraient quand même se faire assez de thunes par eux-mêmes, non ? Bon, pas le temps de se poser toutes ces questions, il fallait d'abord réagir convenablement, et ne pas passer pour quelqu'un de déstabilisé. Son nom de famille ? Au Japon, c'est le nom du père qu'on prend, c'est pas sa faute ! Puis, au moins c'est un beau nom, qui inspire de belles choses, pas comme celui de sa mère...

    Faut que je me reconcentre, pas que je me laisse aller, ça va le faire Momoe, t'es dans la merde mais faut remonter la pente.

    Alors que son peut-être futur patron se pose dans son fauteuil, l'entrepreneuse reste debout, étant donné que l'on ne l'a pas invitée à s'asseoir. C'est une formule de politesse simple, qui montre qu'on ne prend pas ses aises chez son hôte. Ses mains sont placées le long de son corps, paumes vers l'arrière, afin de maintenir une posture convenable, alors qu'elle écoute ce qu'il a à lui raconter. Après la mise en garde de Kohaku, Momoe aquiesce, afin de signaler qu'elle a bien compris ce qu'on lui reproche. Il fallait maintenant se montrer correcte, et réussir à gagner la confiance de l'usurier. Une fois son speech fini, et face à la proposition d'une cigarette, la fumeuse répond à l'affirmatif, et vient saisir le paquet pour en attraper une.

    "Merci beaucoup..."

    Elle la porte à sa bouche, et sort un joli briquet assez massif de couleur dorée et présentant des façades sculptées en petits carreaux, afin de l'allumer. Un œil amateur trouverait juste le briquet joli, celui plus avisé reconnaîtrait sûrement la marque. Un S.T Dupont, offert par son père le jour où l'Italienne a décidé de prendre son envol. Le briquet est gravé de son nom de famille, ce qui lui donne une valeur inestimable aux yeux de sa détentrice. C'est avec délicatesse qu'elle s'occupe d'ailleurs de son entretien, afin de le garder dans un état neuf en permanence. La femme prend une première grande inspiration de fumée, qu'elle expire ensuite, ne voulant pas commencer à parler en gardant la fumée dans sa gorge, ce qui a tendance à donner une voix étrange.

    "Alors, je vais recommencer depuis le début, oui. En gros, avec l'aide de mes origines, j'ai pu déjà tisser des liens avec la communauté italienne dans le pays. Sans aller dans quoi que ce soit d'étrange, j'ai réussi à trouver deux-trois ficelles pour ramener des choses de là-bas, notamment des alcools. Mon but, ça serait d'ouvrir un bar de nuit, où je pourrais vendre tout ça discretos, pour ramener une clientèle intéressée. Je veux bien que le Japon soit très fort pour tout ce qui est culinaire, mais les gens aiment boire du vin, et c'est de plus en plus difficile d'en trouver, alors autant venir pêcher la clientèle avec ça. En suite, une fois cette clientèle obtenue, avec les effusions d'alcool du soir, il sera aisé de trouver un autre type de clientèle, celle qui souhaite consommer d'autres choses pour passer une soirée plus amusante, ou qui aimerai avoir de quoi bien attaquer le boulot le lendemain, sans être complètement à l'ouest. Et pour ça, j'ai ça."

    Momoe sort d'une poche à l'intérieur de son costume un petit sachet en plastique, rempli d'une poudre blanche qu'elle prend bien soin d'attraper sans faire usage de la pulpe de ses doigts, mais plutôt en utilisant ses articulations de phalanges, avant d'y poser sur le bureau.

    "Je peux en produire en grande quantité, et c'est pas de la poudre de médicaments pour le rhume, ça, j'sais qu'ils sont bleus mais cette merde a aucun intérêt. Les Japonais ont toujours pris ça, le gouvernement en vendait même à une période... Enfin, pas sous la même forme, mais bon, justement, je parlais bien de changer le marché... La cocaïne, ça plaît aux salarymen ça... Et en terme de garantie, je ne sais pas ce que vous pouvez vouloir, mais je suis prête à me plier à vos exigences."

    Dans la mesure du raisonnable...


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    Mar 30 Avr - 17:28





    Kohaku Hayabusa
    En plus de manier la lame, il sait transformer les mille en millions.

    ▬ Locaux de la Hayabusa Motorcycle Facility, Tokyo, 14h22




    ... Tel un carnassier face à son futur repas : ses dents se dévoilent. Kohaku sourit, il entends finalement quelque chose qui lui plait. Ainsi, elle semblait avoir compris la situation dans laquelle elle se trouvait, et petit à petit, les points se connectaient et lui permettait d'établir un premier avis sur la grande dame.

    Sans un mot, il se lève, une clope au bec et les mains dans les poches. C'est des tours qu'il décrit autour du bureau, se retrouvant tantôt dans le dos de son interlocutrice, tantôt face à elle. Leurs yeux uniques se croisent de temps en temps, et à mesure qu'il tourne autour de toi, les kanjis qui formaient l'insigne du clan Hayabusa brodés sur son cache oeil se font de plus en plus difficile à ignorer. Il avait beau prétendre le contraire, tout dans son apparence laissait penser à un Yakuza... Ses méthodes, son accent, ses gimmicks, cette rudesse dont il faisait preuve en permanence… mais il y avait bien quelque chose qui ne trompais pas : l'appat du gain

    Dès que le petit sachet fit son apparition, son sourire carnassier ne fit que s'élargir. Ainsi, elle avait donc pour projet d'écouler de la drogue dans tout Tokyo ? Voilà quelque chose qui s'annonçait prometteur ! Depuis quelques anénes maintenant, le marché de la drogue avait peu à peu était abandonné par le clan Hayabusa. Jugé trop couteux, trop risqué, L'AME.NO.ME veillant au grain, il était devenu impossible pour le clan de perdurer dans ce marché, d'autant que les influences des autres familles Yakuza dans ce milieu étaient particulièrement ancrées...

    Et si elle était la solution ?

    Clope à peine écrasée dans le cendrier, il en cale une de nouveau au coin de son bec. « Ma chèèèèèère Momoe.... » changement de ton ?! « ... on te l'a surement dit, mais les lois anti-drogues au japon sont on ne peut plus sévère, si tu te fait chopper : c'est la mort assurée. » Il dégaine son téléphone de la main gauche, le déverrouille grâce à sa reconnaissance faciale et lâche à voix haute « Appelles "Dosan" » quelques instants... où Kohaku tente d'éviter le regard de Momoe, puis vint inévitablement la réponse du téléphone qui lui affirme "ne pas avoir compris la requête". Gêné, il parcoure lui même la liste de ses contacts à la recherche de l'intéressé.

    « 150.000, tu dis ? » il se frotte le bout du menton, tout en s'adossant contre un mur, le temps de réfléchir. « Le problème, c'est que les morts ont beaucoup de mal à rembourser leurs dettes... ça c'est contraignant... » une flamme vient finalement éclairer le coin de son visage, alors que le bout de sa clope s'embrase. « Mais tu comptes pas te faire prendre, pas vrai ? Sinon tu serais pas venue jusque là pour risquer le tout pour le tout ! Ça m'plait, t'as des couilles ma grande. »

    Il finit par se rasseoir derrière son bureau, alors que la porte s'ouvre en trombe. « Je t'ai pourtant dit de toquer avant d'entrer ! Putain d'imbécile, tu vois pas que j'suis en rendez-vous ?! »
    « C'est toi qui m'a dit de me dépêcher... j'ai fait au plus vite... »
    « Pas faux... bien, approche, il faut que je te présentes quelqu'un. »

    Passé derrière le bureau, si tu ne t'étais toujours pas retournée pour voir, tu finirais par apercevoir le fameux "Dosan", qui comme toi, ne semblait pas avoir la moindre idée de ce qu'il faisait là.

    « Goûtes moi ça. » Lâche Kohaku, à l'intention de son collègue, en lui tendant le petit sachet de poudre.
    L'auriculaire de Dosan plonge dans le plastique, s'imbibe de la substance qu'il vient étaler contre ses dents. Après plusieurs bruits hideux, de mastication et autre il acquiesce dans la direction de Moneymaker, sans dire un mot.

    « Bien ! Miss Senatore ! » Dit-il, en frappant dans ses mains. « Il semblerait que nous puissions entrevoir une affaire ! Les secteurs du clan se diversifient... et il se pourrait que nous cherchons à investir dans les spiritueux, vous savez ? Pour la vie nocturne des tokyoïtes... oui, tout le monde trouve ça important... et il s'avère que ce monsieur Dosan, ici présent, fut autrefois un acteur privilégié de cet environnement là
    ! »
    ▬ « Juste pour être sur boss... on parle bien de drogues là ? J'ai du mal à suivre... »
    ▬ « OUI DOSAN ! »
    Kohaku soupires. « Ne fais pas attention à ce gars... tu apprendras à le tolérer au fil du temps. » Il tire une longue bouffée sur sa cigarette avant de reprendre. « Ecoute, Momoe... moi j'te connais pas et j'doute pas de ta bonne foi : mais les affaires sont les affaires. T'es d'accord avec moi ? Donc, c'est simple : si tu veux mon fric, on va devoir faire ça à ma manière. »

    Ses pieds s'écrasent sur le bureau, laissent entrevoir les chaussures scintillantes de Kohaku et leur semelle rouge. « Voilà c'qui va s'passer, petite Senatore. Tu vas bosser pour moi, écouler cette merde dans la ville et m'rapporter tout un tas de pognon... et Dosan sera la pour te surveiller ! C'est pas génial ça ? Ton propre assistant personnel... rien qu'à toi. » Un regard s'échange momentanément entre Dosan et Kohaku. « Bon, pour te dire la vérité, à part guetter tes moindres fait et gestes pour s'assurer que tu fasses correctement le job que mon argent te permettra de faire, il te sera pas d'une grande utilité... mais au moindre pépin, il peut m'appeler et on s'occupera de te botter le cul comme on l'fait par ici... j'parie qu'ils connaissent pas ça, tes potes ritales. »

    Il prend finalement un morceau de papier, sur lequel il écrit sa première offre... qu'il glisse à l'intention de son interlocutrice.



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    Momoe Senatore
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    "La pêche, ça s'ra dans la bière ou les dents ?"
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    Dim 12 Mai - 9:16





    Au Japon, on fait comme à la maison !



    Au sourire de son interlocuteur, la tension des épaules de Momoe se détend. Cela semble être dû à une satisfaction, ce qui est bon signe. Elle se sait ne pas être en position de force, alors laisse couler cette attitude étrange. Il lui tournicote autour, comme une abeille face à un pot de miel, mais la femme ne le suit du regard que lorsqu'il est face à elle. Ses manies sont étranges, il transpire le malfrat mais veut à tout prix qu'on le considère différemment... Peut-être qu'il s'est refait ? Enfin, n'importe, il semble voir quelque chose en elle, c'est l'essentiel.

    Alors qu'il se remet enfin à parler, voilà que son changement de ton surprend la jeune chimiste. Cet homme semble bien plus familier tout à coup, à la vue du petit sachet. Alors, on la prend enfin au sérieux ?

    La petite scène d'essai de la part de "Dosan" la fait hésiter quelques secondes, avant d'être rassurée face au verdict. Ouf...

    Spécial un peu, le mec...

    Voilà que c'est de nouveau au Hayabusa de prendre la parole, lui expliquant les termes du contrat. Alors comme ça, elle va bosser pour eux... Hmm, c'est sûr que ça implique d'avoir un patron, mais il faut bien commencer quelque part. Une fois la dette remboursée, sa valeur sera prouvée, et leur statut évoluera peut-être à "collaborateurs" ? Enfin, de toute façon, il fallait s'attendre à ça, l'avantage c'est qu'on lui envoie un simple superviseur, et non un "pro" qui la guiderait à la baguette. Cet argent servira à faire fonctionner son business, il est assez bien ficelé pour ne pas avoir à faire de magouilles dans le dos du clan, ça devrait aller... Tant qu'il est fiable...

    La menace lui passe relativement au dessus, l'Italienne se sachant de bonne foi. Lorsqu'on commence à rentrer dans l'illégal, on évite de se faire des ennemis avant même de se faire des amis ! Il fallait rester pro, honnête, et ne pas trop déconner. D'ailleurs, afin de bien débuter cet objectif, la métisse ne relève pas la pique envoyée en fin de phrase. Elle connait les méthodes du coin, elle y a grandi...

    Son oeil se pose sur le bout de papier, et le montant affiché la fait grincer des dents. Ce n'est pas ce qu'elle a demandé, mais c'est ce dont elle a besoin pour commencer comme il faut. De toute façon, ses futurs revenus pourront faire fructifier son business, alors la mise de départ n'est qu'un raccourci véreux. Kohaku Hayabusa a l'air de bien le savoir... Au moins, les intérêts ne sont pas trop trop élevés, et il n'y a pas de date limite pour rembourser, donc pas de soucis... Juste une dépendance à ces gens pour encore un bon bout de temps, mais ça ira..

    20 % de prélèvement, ça voudra dire 1600 ryos par mois, donc j'en ai encore pour 65 mois, soit 5 ans... C'est long, mais si je fais fructifier ma société en investissant de nouveau dedans, je pourrais faire monter mon salaire et ce qu'ils vont me prélever, ça devrait accélérer les choses, je vais m'en sortir... Rome ne s'est pas construite en un jour ! C'était mal parti, donc je vais pas jouer à la conne en demandant le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière... Il sait quelle place il a, et j'vais pas prendre un air désespéré.

    Merci pour votre confiance, je tâcherai de mener à bien cette affaire, qu'elle nous soit profitable à tous...

    Son regard se pose ensuite sur le fameux Dosan. Elle espère qu'il ne traînera pas trop dans ses pâtes et qu'il n'ira pas piquer sa came. Elle se présentera sûrement plus tard, ne voulant pas déranger la conversation actuelle.

    La grande femme tend sa main pour ponctuer sa phrase, voulant ainsi signer le deal. Elle est pavée de bijoux argentés, à la limite d'en devenir "trop". En prêtant attention, on peut voir qu'au dessus de ses longs doigts, ses phalanges sont abimées, ayant une teinte bien plus violette que le reste de sa peau. Cela casse un peu l'élégance de la tenue, mais le cache-œil le fait déjà bien, alors au final, ça ne détonne même plus tant que ça.

    Momoe n'attend plus que la réponse de Kohaku, et elle rentrera ainsi, ses 80 000 ryos en poche, et avec un pot de colle en prime !

    Résumé de la négociation:
    Momoe Senatore
    https://www.jjk-rpg.com/t60-momoe-senatore-finito#140handn
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    Dim 26 Mai - 19:31





    Kohaku Hayabusa
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    ▬ Locaux de la Hayabusa Motorcycle Facility, Tokyo, 14h22




    C'en était donc fini de la négociation. Les acteurs de cette discussion venaient de trouver l'accord qui allaient leur permettre de collaborer. Sur le visage de Kohaku Hayabusa, le sourire carnassier se dévoile de plus belle, à ce stade là, c'est presque à se demander si ce n'est pas son expression par défaut. « Bien, ne tardons pas pour officialiser les choses dans ce cas. » D'un geste de main, il expédie Dosan hors de la pièce. « Vois ça comme un petit test, une manière pour nous de s'assurer que t'es bien la personne que tu prétends être ! Fais ça bien et on verra si on pourra réinjecter davantage de fonds par la suite. »

    Finalement, sa main vient entrelacer la tienne, l'argent de tes parures se mêle à l'or de ses bagouzes. Un aperçu de ton avenir au sein du clan Hayabusa ? Par ce geste, l'accord est conclu symboliquement... Mais c'est bien à l'encre noire que la signature de Momoe sera apposée sur cette reconnaissance de dette.

    Quelques coups de fil, c'est tout ce qui avait suffit à Moneymaker pour rassembler une équipe de types en cravates, qui vinrent immédiatement envahir le bureau. Une scène quasi inexplicable : avocats, fiscalistes, et tout une équipe de col blanc s'était réuni pour se mettre à monter ton dossier. En deux temps, trois mouvement, ton bar venait d'être rattaché à la Société Hayabusa, pour en devenir l'une des filiales de la holding. Dans tous les sens, on t'assaillit de questions techniques, aux termes vagues. On te fait signer un document, puis un autre, et ça ne s'arrêtes jamais.

    Malheureusement, c'est dans cet engrenage que tu as volontairement choisi de te placer.

    Quand cette tornade finit par s'arrêter, finalement, il ne reste plus que ce bon vieux Kohaku, qui une clope au bec et une lime à ongles dans les mains, te jette : « Bienvenue dans le clan Hayabusa, Momoe Senatore... évites de tout faire foirer. »


    Résumé de la négociation


    Félicitations Momoe, ce rp de négociation est officiellement TERMINÉ ! Grâce à ta négociation avec celui que le clan a surnommé "Moneymaker", tu as obtenu le financement de ton business ILLEGAL par la famille Hayabusa. Grâce à ta négociation, vous vous êtes mis d'accord pour que le clan te prêtes 80.000 ryos pour ta société, avec un taux d'intérêt à 30%, portant ta dette a 104.000 ryos, le clan Hayabusa t'amputeras également de 20% de tes bénéfices mensuels, jusqu'à ce que tu décides de rembourser la somme convenue.

    Tu récupères également le contact JAPAN-MESSENGER de Kohaku Hayabusa, qui te permettra d'ouvrir une conversation CRYPTÉE* avec lui

    Ton association avec Kohaku Hayabusa fait désormais de toi une EMPLOYÉE DU HAYABUSA-RENGO et t'assures la protection du clan sur ton business ( Tu n'as plus besoin de lancer de dés d'agression pour te prémunir des Yakuza. )

    Ce mouvement suspect dans les comptes des Hayabusa semble avoir attiré l'attention d'acteurs de l'ombre... (Attrait+)

    Tu gagnes 20 + 20 Points d'Influence (PI)

    Files réclamer tout ça sur ta fiche de progression ! Et encore bravo ! On se voit en ticket pour discuter des spécificités du business ma grande !





    *Les conversations cryptées seront expliquées lors de la prochaine mise à jour !
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